Black Butler 1 – Yana Toboso

JQ_BlackButler_01_N.inddTitre: Black Butler 1
Auteur: Yana Toboso
Éditeur: Kana
Collection: Black Kana
Nombre de pages: 184
Quatrième de couverture:
Sébastian est majordome au service de Ciel Phantomhive, héritier d’une grande famille de la noblesse anglaise. En matière d’érudition, d’éducation, d’art culinaire, rien à redire, il est parfait. Mais ne vous fiez pas à sa distinction, si vous vous en prenez à son jeune maître, vous découvrirez sa vraie nature… Ciel aurait-il signé un pacte avec le Diable?!

Ce manga ne m’appartient pas: je l’ai emprunté à mon frère et je me devais de le lire rapidement, ce que j’ai fait cet après-midi. Il se décompose en 4 parties ou 4 chapitres.
Lorsque j’ai commencé, je n’étais absolument pas convaincue. Tout au long du premier chapitre, je me suis demandée si j’aimais ou non et j’ai été incapable de me décider. J’ai donc continué ma lecture sans savoir si cela valait le coup. Les dessins sont esthétiquement beaux, mais le personnage principal, Sebastian, me gênait: il est super fort, extrêmement doué dans tout ce qu’il entreprend, bref le majordome parfait, c’en est presque agaçant. Cependant, pas autant que les autres employés du manoir qui ne sont là que pour jouer les pompomgirl et sont vraiment trop nuls.
Black Butler 2Mais j’avoue qu’au second chapitre, à l’arrivée d’Elizabeth, je me suis totalement détendue et j’ai beaucoup ri, tout en me méfiant: est-ce que la suite ne sera pas une succession de scènes cocasses menées par la jeune fiancée de Ciel ? Et puis, j’ai chassé toute pensée néfaste et j’ai juste profité du reste du manga.
Le début du chapitre 3 est légèrement confus, mais ça ne m’a pas empêché de continuer et de dévorer la suite et fin avec le chapitre 4.

Il y a une chose que j’ai vraiment bien apprécié dans ce manga: on sent bien quelque chose d’étrange chez le protagoniste qui pourrait expliquer ses fabuleuses réussites quelqu’en soit le domaine, on peut se dire qu’avec de la chance, on aura progressivement des indices aussi minuscules que ridicules étalés sur une trentaine de volume; et bien, non ! A la fin du premier tome, on sait qui est ce formidable majordome et d’où lui viennent ses fabuleuses capacités ! J’ai trouvé ça très appréciable. Ça m’a permis un retour sur cette lecture encore plus positive que l’avis que je m’étais progressivement faite au fil des pages.
J’ai vraiment envie de lire la suite, mais ce n’est pas une envie pressante, plutôt une envie sereine, comme je les aime.

Je passe à 07/20.

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