Perfect world, tome 02 – Rie Aruga

Titre : Perfect world, tome 02
Auteur : Rie Aruga
Éditeur : Akata (L)
Nombre de pages : 166
Quatrième de couverture : Tsugumi et Ayukawa ont décidé de se mettre en couple ! Mais les deux jeunes adultes, devant mener de front vie professionnelle et vie privée, ne se doutent pas encore des obstacles qui vont se dresser devant eux. À commencer par leurs proches, qui n’acceptent pas tous la situation… Leur amour naissant pourra-t-il survivre à toutes ses épreuves ?

Je ne sais pas trop quoi penser de ce second tome. J’avais adoré le premier, il était original et intéressant, le second l’est beaucoup moins, mais je pense que c’est dû au personnage de Tsugumi qui m’a saoulée.

Ayukawa et elle sortent ensemble. Elle se rend compte des difficultés que son petit copain rencontre, mais leurs plus gros problèmes viennent de leurs proches :
– les parents de Tsugumi réagissent mal à l’annonce comme quoi elle sort avec un homme en fauteuil roulant
– l’aide-soignante d’Ayukawa se montre désagréable et sèche avec notre héroïne
– un nouveau protagoniste apparaît, Koré-Éda. C’est un ancien camarade de classe amoureux de Tsugumi, donc il n’apprécie pas la situation.

Donc comme je le disais plus haut, Tsugumi m’a énervée : elle se fout une pression de malade, elle veut tout faire pour Ayukawa, mais c’est trop. Je l’ai trouvée étouffante. Et même moi, elle m’épuise, c’est terrible.
Je pense que ce qui me gonfle le plus est qu’elle pourrait profiter de sa relation amoureuse, sauf qu’elle passe son temps à s’inquiéter, et ce, même quand elle est avec Ayukawa… c’était lourd et même lui, ça finit par lui gâcher le plaisir d’être ensemble.
Et sans surprise, elle s’affaiblit grandement.

Bref, ce n’était pas une lecture tip top et j’avoue que je suis un peu déçue. J’espère que les prochains seront moins pénibles à lire.

BirdCage Castle, tome 3 – Toutarou Minami

Titre : BirdCage Castle, tome 3
Auteur : Toutarou Minami
Éditeur : Doki Doki
Nombre de pages : 224
Quatrième de couverture : Huit lycéens, toujours prisonniers du « Château de la cage aux oiseaux », arrivent dans un endroit paradisiaque à la végétation luxuriante. Mais à peine ont-ils le temps de goûter à la beauté du lieu qu’ils sont rattrapés par la réalité. Pourront-ils sortir vivants de ces interminables dédales sans que l’un des leurs ne succombe à nouveau ?

J’avais presque oublié que j’avais ce manga à continuer. Jusqu’à aujourd’hui, je n’étais pas trop d’humeur à reprendre, puis l’envie m’est revenue.

L’histoire n’avance pas vraiment : nos héros tentent toujours de localiser le hibou bleu et passent de pièces en pièces, tout en résolvant les énigmes. Enfin, il y a surtout une grosse salle avec un mystère à éclaircir ; c’était synthétique, ça laissait de la place aux personnages et au développement de leur caractère, pensées, réflexions. J’ai apprécié ça.

Kimiharu continue à se taire et il faut lui sortir les vers du nez pour qu’il daigne partager ses réflexions. Bref, il est toujours aussi détestable, il rend presque Yuma et ses crises du début sympathiques.
Ce qui m’a surtout plu est qu’on découvre le passé de Gin, et surtout la raison pour laquelle il réfléchit à “voix haute”, en marmonnant devrais-je dire. C’était intéressant et ça rend le personnage plus attachant.

Les dessins me plaisent toujours autant, voire même plus. J’ai l’impression qu’il y a une amélioration à chaque tome. Si les décors sont succincts, le character design est chouette et j’ai pris plaisir à tous les détailler.
J’ai beaucoup aimé cette lecture, et je lirai assurément le prochain au courant du mois d’août.

Le renard et le petit tanuki, tome 4 – Mi Tagawa

Titre : Le renard et le petit tanuki, tome 4
Auteur : Mi Tagawa
Éditeur : Ki-oon (Kizuna)
Nombre de pages : 191
Quatrième de couverture : Animaux magiques et folklore japonais : un conte touchant pour faire grandir les petits… et les grands !
Hagiri et son coéquipier l’ont échappé belle : même s’ils ont été démis pour un temps de leurs fonctions, ils n’ont pas été exclus de la meute ! Et, à sa grande surprise, Senzo a reçu toute la reconnaissance des loups pour son aide…
Quant au raton laveur fou furieux qui poursuivait la petite Milk, il a retrouvé son aspect normal, mais perdu l’usage de la parole ! Sans compter qu’il semble encore très farouche… Manpachi arrivera-t-il à s’en faire un ami ?

Quel plaisir de retrouver cette saga ! Je suis décidément fan et ce quatrième tome ne m’a pas déçue, loin de là.

Il est super important parce qu’on en apprend énormément sur chacun des personnages :
– une partie du passé de Koyuki, on fait vaguement la connaissance de ses parents et ses frères.
– comment Tachibana, qui est un chien, a rejoint une meute de loup ; on connaissait un peu de son passé avec Mikumo, mais l’auteur nous en dévoile un peu plus.
– qui était le premier Manpachi et ses liens avec Senzo.
– que sont les métamorphes et comment naissent-ils ?

C’est un tome qui est très dense, beaucoup d’informations et surtout de recoupements avec des détails donnés au fil de tomes précédents. Rien n’est laissé au hasard et j’adore ça.
Il y a un ancien/nouveau personnage Gomaru il est tellement mignon ! Aussi mignon que Manpanchi et je fonds complètement. Je sens bien qu’il va avoir un rôle important et c’est chouette.

Les dessins sont magnifiques, comme toujours. À tel point que j’ai pris tout mon temps pour lire ce quatrième tome et contempler les illustrations. J’ai volontairement traîné parce que je n’avais absolument pas envie de finir ce quatrième tome.
C’est un coup de cœur pour cette lecture, la fin m’a laissée sur ma faim et si je m’écoutais, j’entamerai la suite immédiatement.

Ken’en, comme chien et singe, tome 1 – Fuetsudo & Hitoshi Ichimura

Titre : Ken’en, comme chien et singe, tome 1
Scénariste : Fuetsudo
Ilustrateur : Hitoshi Ichimura
Éditeur : Doki Doki
Nombre de pages : 161
Quatrième de couverture : Un kakuen, une créature mi-homme mi-singe, terrorise le village de Mitsuke. Benzon, un bonze, va au temple Kôzen-ji pour demander de l’aide. Il revient avec Hayate, un chien exorciste. Les deux êtres surnaturels, Mashira, le kakuen, et Hayate, ont des relations animées au gré des saisons du Japon légendaire.

J’ai entendu beaucoup de bien de cette saga, et ce, depuis sa sortie. Ça fait un moment que je désirais le lire, donc quand j’ai trouvé ce premier tome à Farfafouille, je n’ai pas hésité une seule seconde. Et je suis contente de l’avoir pris.

Le bonze Benzon est chargé d’aider un village victime de chantage : ils doivent livrer une jeune fille en sacrifice aux Kakuen, des créatures mi-homme mi-singe.
Afin d’accomplir sa mission, il est accompagné d’un chien pas comme les autres, puisqu’il est en réalité un reiken, une créature magique tueur de démon du nom de Hayate.

L’histoire est aussi originale que sympathique. J’ai pris plaisir à découvrir l’univers de Ken’en. Par contre, je ne m’attendais pas à une telle tournure :
Hayate a la capacité de se transformer en créature humanoïde et il passe de l’une à l’autre à sa guise ; parfois, c’était drôle et d’autre fois plutôt dérangeant surtout quand il a sa forme humaine et qu’on le traite comme un chien.
D’ailleurs, je ne sais pas trop quoi pense de Hayate. Je crois que je l’aime bien, mais rien n’est moins sûr.
En ce qui concerne Mashira, je l’apprécie grandement. Il est sensible, attachant et amusant, sa relation avec le reiken est étrange, elle évolue lentement et je ne doute pas qu’elle deviendra forte et touchante.
D’autres personnages apparaissent au fil des pages, mais je ne vais pas tous les énumérer… non seulement, ils ne sont pas assez présents pour développer mon avis sur eux, mais je préfère les garder en joker pour les prochains tomes.

J’ai adoré cette lecture. Il faudra que je me procure les prochains.

L’Éden des sorcières, tome 4 – Yumeji

Titre : L’Éden des sorcières, tome 4
Auteur : Yumeji
Éditeur : Ki-oon
Nombre de pages : 196
Quatrième de couverture : Dans un monde abandonné par la nature, les sorcières sont le seul espoir de l’humanité !Grâce à Oak, Pilly s’est échappée de la forteresse de Fruditilla, une ancienne sorcière devenue sainte patronne de la cité impériale, et a libéré Karen du cachot où elle était enfermée. Maltraitée par sa geôlière des jours durant, cette nouvelle amie est malheureusement bien mal en point…Pour la sauver, Pilly n’a pas le choix : il faut qu’elle parte à la recherche d’amurds et qu’elle concocte un remède au plus vite ! Seulement, Oak se montre réticent et suggère d’abandonner la jeune femme, de peur qu’elle les retarde, ce qui met sa protégée hors d’elle. Les deux compagnons parviendront-ils à trouver un terrain d’entente ?

J’ai longtemps hésité avant de sortir ce quatrième tome de ma pile à lire, non pas que je ne souhaitais pas le lire, bien au contraire, mais j’attendais d’avoir des tomes supplémentaires. Finalement, je n’ai que le cinquième en plus, les prochains mettent trop de temps à paraître.

Oak a réussi à faire sortir Pilly du château de Fruditilla. Notre héroïne a embarqué Karen dans sa fuite, une autre sorcière prisonnière qui est bien mal en point.
Oak est bien partant pour abandonner la blessée, mais c’est sans compter la bienveillance de Pilly qui cherche un endroit où se reposer et soigner son amie.
Elle descend une falaise et découvre des amurds cachés au fond du ravin. Mais ce jardin est gardé par un gardien. Comment vont-elles réussir à s’en sortir ?

La première chose qui m’a frappée, ce sont les dessins : ils sont inégaux. Si habituellement, ça peut être le cas des humains, ça ne l’était pas pour Oak… ou alors ça ne m’a pas frappée jusque là. Donc je me suis moins attardée sur les illustrations.
Ce quatrième tome s’est lu à une rapidité folle. J’ai pris énormément de plaisir à retrouver cet univers.

Et puis, on découvre un peu mieux Karen et son douloureux passé. C’est un personnage que j’ai beaucoup aimé. À voir si ça se poursuit par la suite.
Ce n’est pas le seul personnage qu’on apprend à connaître, c’est également le cas d’Aster que j’ai aussi apprécié. Sa relation avec Pilly est touchante.

Ce tome-ci se termine par un cliffhanger de malade, autant dire que je ne vais pas attendre des mois avant de lire le prochain.
En conclusion, c’est un coup de cœur pour cette lecture.