Noël sous la couette – Collectif

Titre : Noël sous la couette
Auteur : Collectif
Éditeur : J’ai Lu
Nombre de pages : 249
Quatrième de couvertureRecueil de six nouvelles.
Il s’en passe des choses le soir du réveillon : un jeune loup de la finance retrouve son amour de jeunesse dans un aéroport bloqué par la neige; un flic désenchanté se laisse séduire par sa délicieuse voisine de palier; un obsédé du boulot finit par s’apercevoir que sa collègue a un cœur d’or et les plus belles jambes du monde…
Autant de gens pour qui Noël rimait avec solitude et qui ont trouvé l’Amour au pied du sapin.

Je ne fais peut-être pas le Cold Winter Challenge cette année, mais j’avais très envie de lire un bouquin sur le thème de Noyel. Je sais qu’il n’a pas une très bonne note sur Livraddict, pourtant je m’y suis quand même essayé.
C’est un recueil de six nouvelles. Et je dois dire que je ne m’attendais pas à ce que certaines soient un brin coquines… Si j’avais fait plus attention aux petites lignes sur la couverture, je me serais pas laissé surprendre.

Noël sous la couette – Lori Foster
Parker est policier. Quand il rentre chez lui, il lui arrive souvent de croiser sa voisine, Lily. Elle semble bien plus jeune que lui pourtant, ça n’empêche pas la jeune femme de flirter avec le héros de cette nouvelle. La veille du réveillon, en rentrant, il entend Lily s’engueuler avec un homme. Il intervient et la demoiselle se met en tête de lui tenir compagnie pour les fêtes afin de le remercier.
L’histoire ne casse pas trois pattes à un canard. Ça s’est bien lu jusqu’à la fin, puis après un évènement terriblement prévisible, Parker se transforme totalement : du Grinch, il passe à un être plein de bons sentiments, décide de faire tout ce qu’il détestait lors des fêtes de fin d’année, et ce, au mépris de toutes ses convictions. J’ai trouvé que c’était du n’importe quoi, absolument pas crédible qu’un tel changement s’opère en une nuit et franchement, la chute est nulle.

Le Noël de Claire – Erin Mc Carthy
En rentrant de ses courses de Noël, Claire est aspergé de neige. Frigorifiée, elle décide d’aller chez son frère absent, ça tombe bien elle a la clé, histoire de se doucher et de se changer, empruntant des vêtements à sa belle-sœur. Quelle n’est pas sa surprise quand elle découvre que Justin, le meilleur ami de son frère, pour qui elle a toujours eu le béguin, squatte l’appartement.
Une histoire sans surprise : discussion à la je-t’aime-moi-non-plus, sexe, grande déclaration d’amour, etc. Si ce n’est que je m’attendais à ce que ça s’arrête là, ça aurait été bien, ça se laissait lire… Mais non, il a fallu qu’on se tape une conversation super trop longue après, la leçon de morale du frangin qui finit super content pour eux parce qu’après une pauvre nuit sans avoir vécu ensemble, ils en viennent à planifier leur mariage ! Bref, le genre de truc qui m’exaspère profondément.

Epousez-moi, monsieur le maire ! – Jill Shalvis
Camilla travaille à la mairie. Elle sort avec Edward, enfin si on peut dire ça, et assiste dans les WC à une partie de jambe en l’air entre deux personnes du bureau : aux chaussures, elle croit reconnaître son petit-ami. Quel n’est pas son soulagement quand elle constate que le maire connu pour être un vrai Dom Juan porte les mêmes chaussures ! Assurément, c’est lui qui s’amusait dans les toilettes des femmes. Il lui faudra attendre le lendemain, au bal de Noël, pour apprendre le fin mot de l’histoire.
Enfin une nouvelle avec un vrai scénario ! Pas juste une histoire d’une nuit qui s’éternise, non ! Le récit se déroule sur plusieurs jours, les choses avancent doucement, c’est crédible. En parallèle, il y a une sombre histoire de “corbeau” au sein de la mairie qu’il faut démasquer et le plus souvent, ça passe en priorité sur la bagatelle, comme dans la vraie vie. Et puis j’adore le personnage de Camilla, psychorigide, qui aime garder le contrôle… elle est tellement réaliste que je n’ai pu m’empêcher de m’y attacher.
Sans compter que la plume de l’auteure est très agréable… Un vent de fraîcheur qui m’a donné le sourire.
Bref, j’ai adoré cette nouvelle.

Le plus beau des Noëls – Kathy Love
Robert n’aime pas les fêtes de Noël mais se rend exceptionnellement dans sa famille à Portland pour l’occasion. Malheureusement, suite à une tempête de neige, son avion est immobilisé. Il essaie de louer une voiture, mais il n’y en a plus. Il fait alors du co-voiturage, et l’une des personnes qui l’accompagne n’est autre que son ex petite amie.
Une histoire sans surprise, et prévisible. Je me suis sacrément ennuyée. Seule la morale de l’histoire est sympathique, mais ça tient en une pauvre phrase… Le récit est trop superficiel pour avoir eu un réel impact.

Comment séduire un rabat-joie – Katherine Garbera
Jackson travaille beaucoup, il fait appel à une collègue afin de l’aider à boucler son rapport. Elle répond à sa demande et fait sa part, mais lui fait du chantage : elle refuse de lui donner les chiffres nécessaires à la finalisation de son travail à moins qu’il n’aille dîner avec elle.
Une nouvelle qui m’a prodigieusement ennuyée et surtout totalement laissée indifférente. L’auteure a bien essayé d’être amusante avec les différentes déclinaisons de maître-chanteur, mais c’est tombé à plat en ce qui me concerne.

Un amour au pied du sapin de Kylie Adams
Rachel travaille à mi-temps en tant que barmaid dans un café. À côté, elle fait du théâtre. Lorsqu’un de ses clients acteurs la pousse à auditionner pour sa série, elle n’hésite pas longtemps et, malgré la rude concurrence, passe le casting.
J’ai beaucoup aimé cette nouvelle. Elle n’est pas très originale, mais j’ai apprécié les personnages : Rachel est sympathique et attachante, quant à Chase, il est charmant. Le côté romantique est assez succinct et ça m’a rendu cette histoire d’autant plus intéressante.

En conclusion, c’est un recueil de nouvelles plus que moyen… Deux histoires sympathiques sur six, c’est faible… On n’atteint même pas la moyenne. Ça ne me laissera pas un souvenir impérissable, loin de là.

Challenge Coupe des 4 maisons :
Sombral (Chasse aux animaux fantastique) – Un livre que vous avez commencé avec des préjugés – 40 points

Yamada kun & the 7 witches, tome 13 – Miki Yoshikawa

Titre : Yamada kun & the 7 witches, tome 13
Auteur : Miki Yoshikawa
Éditeur : Delcourt/Tonkam
Nombre de pages : 187
Quatrième de couvertureYamada est le cancre au sale caractère du lycée. Un jour, il embrasse par hasard la meilleure élève de la classe. Et leurs corps se retrouvent échangés ! Incapables de comprendre ce qu’il s’est passé, ils vont devoir affronter cette nouvelle situation chacun à sa manière. Peu à peu, ils vont comprendre dans le regard des autres que l’idée qu’ils se faisaient l’un de l’autre n’était pas forcément la bonne…

Ça fait plus d’un mois que j’ai emprunté ce treizième tome. Comme ma médiathèque est fermée depuis fin novembre et ne rouvrira pas avant mi-janvier, je n’avais donc aucune obligation de me presser pour le lire… Et j’avoue que les deux derniers ne m’ayant pas laissé un souvenir impérissable, je n’avais pas hâte de continuer. Bref, vous l’aurez compris, je redoutais ce manga. Je craignais qu’il soit aussi peu intéressant que les précédents.

Finalement, j’y ai pris beaucoup de plaisir.
Surtout que… la vache ! Ce tome-ci est bien barré ! Yamada se retrouve confronté à Nancy la septième sorcière, celle qui efface les mémoires, aunsi qu’à son acolyte Sid… Un duo de punk qui semble détester le comité des élèves. En s’acoquinant avec eux, Yamada découvre deux nouvelles sorcières : celle qui lit les pensées puis celle qui voit l’avenir… Il va devoir les apprivoiser et pour ce faire, il utilise des méthodes bien peu orthodoxes, mais surtout drôles.
Il semblerait également que les pouvoirs des sorcières aient légèrement évolué… À moins que… cela fait peut-être partie des 7 énigmes du lycée.
Une fois de plus, on ne voit quasiment pas Urara et c’est dommage, je trouve que sa relation avec Yamada perd vachement d’intérêt.

Ça ne m’a pas empêchée d’apprécier ce nouveau tome. Je ne me suis pas ennuyée même si je n’aime pas trop le personnage de Kotori, par contre j’ai bien rigolé avec Chikushi. J’apprécie également le duo Nancy-Sid et je me demande ce qu’ils vont devenir surtout après la demande finale de Miyamura.
J’ai beaucoup aimé ce treizième tome et ça me motive pour lire la suite.

Toi, mon chat – Dominique Brisson & Pascale Belle de Berre

Titre : Toi, mon chat
Auteure : Dominique Brisson
Illustratrice : Pascale Belle de Berre
Éditeur : Cours toujours
Nombre de pages : 96
Quatrième de couvertureLe chat serait le meilleur ami de l’homme s’il voulait bien (se) l’avouer. Que se trame t-il sous l’eau pure des yeux des chats?? On les dit parfois sournois, manipulateurs, capricieux et égoïstes, mais les chats sont avant tout des créatures fascinantes. Dans les trente récits signés de Dominique Brisson, ils font vivre aux humains (qu’ils consentent à fréquenter) des aventures extraordinaires.Dans la droite ligne des deux autres titres de la collection, Ma Poule et Nos Jardins secrets, les textes mettent en scène des confidences recueillies auprès d’amoureux des chats.

Je tiens tout d’abord à remercier la Masse Critique Babelio ainsi que les éditions Cours Toujours pour ce partenariat qui m’a ravie. À peu de choses près, je m’attendais à ça donc c’est chouette.

C’est un beau livre. Les feuilles sont épaisses, et la couverture l’est davantage, mais pas suffisamment pour qu’elle perde de sa souplesse. Je l’ai d’ailleurs trouvée originale : on y voit une découpe en forme d’œil de chat et on dirait vraiment ça, mais quand on ouvre, c’est en réalité le pelage d’un félin roulé en boule et c’est tellement bien fait, qu’on s’y méprend volontiers.

Entrons un peu plus dans les détails : il contient trente nouvelles plutôt courtes. Le plus souvent, les récits sont racontés du point de vue des maîtres, mais dans quelques uns, on suit les chats. Il y en a pour tous les goûts : quelques rares histoires m’ont laissée indifférente (Dent pour dent par exemple) principalement parce que le texte est trop terre à terre. Beaucoup m’ont émue parce qu’elles sont touchantes, comme Dans les profondeurs ou Gueule cassée. Il y en a même qui m’ont fait rire comme Chats de librairie ou La vengeance du cimetière.
Habituellement, j’aime détailler un morceau de l’histoire, au moins le début. Là, c’est impossible : les nouvelles sont trop nombreuses et surtout trop courtes.
On y retrouve autant de textes différents que les félins ont de facettes. Quant aux maîtres, ils sont tout aussi variés : certains aiment les chats, d’autres pas, d’autres en ont peur… Quoiqu’il en soit, pas un seul ne m’a déplu, peut-être parce que malgré la concision des nouvelles, ils sont suffisamment bien dépeints pour que j’accroche sans mal.

En ce qui concerne les dessins, j’ai beaucoup aimé. Il y a une quarantaine d’illustrations qui sont bien faites : j’y ai retrouvé bon nombre des positions que prennent les félins. Les couleurs sont sympathiques et chaleureuses. Ne m’y connaissant pas plus que cela en art, je ne vais pas me lancer dans une analyse du style. Je dirais juste que j’ai apprécié les dessins et j’ai pris plaisir à contempler le pelage détaillé des chats, poils par poils, ça avait quelque chose de fascinant.

J’ai beaucoup aimé cette lecture.

Qui dit coeur brisé dit mojitos à volonté – Laure Allard-d’Adesky

Titre : Qui dit coeur brisé dit mojitos à volonté
Auteur : Laure Allard-d’Adesky
Éditeur : Harlequin
Nombre de pages : .311
Quatrième de couvertureSi mon prince ne vient pas, c’est moi qui irai le chercher !
Un pacte anti-cons. Voilà ce que Louise vient de signer avec ses deux meilleures amies. Parce qu’il y en a marre de tomber amoureuse du mec canon qui vous laisse en plan à la première occasion – ou, pire, qui décide au bout de quelques mois de retourner avec son ex. Terminées les relations foireuses et les soirées passées sur le canapé à noyer son chagrin dans un mojito ! À partir de maintenant, Louise évitera soigneusement tous les hommes susceptibles de lui briser le cœur. Et pour ça, elle a un plan génial : donner une chance à ceux qui, à première vue, ne correspondent pas à ses critères.

Un grand merci à l’auteure, Laure Allard-d’Adesky, ainsi qu’aux éditions Harlequin pour ce service presse. Ce fut une belle découverte.

Louise, Emma et Clémence sont trois amies proches et célibataires qui en ont marre de tomber sur des gros nuls (j’utiliserai volontiers d’autres termes, mais restons polie). Lors d’une soirée, après avoir listé le type d’hommes à éviter, elles décident de se tourner vers des gars à qui elles n’auraient habituellement pas adressé le moindre regard.
J’avoue que j’ai applaudi ce choix et la surprise est de taille quant à leurs rencontres. Si Timéo ne me plaisait pas du tout, j’ai beaucoup aimé Grégory et les hommes qui gravitent autour de Louise que ce soit son frère, Tristan, ou le coloc de ce dernier, Samuel.

C’est un roman passionnant qui se divise en deux parties :
– la première couvre le pacte anti-cons, les différentes rencontres que font les trois amies et ses conséquences
– la seconde retrace l’après… parce que même quand on a trouvé le grand amour, rien n’est joué.
J’ai beaucoup aimé la première moitié de cette histoire, elle m’a fait rire, et j’ai passé un très bon moment en compagnie de Louise. Par contre, j’ai adoré la deuxième que j’ai trouvée plus intéressante, plus aboutie, plus apaisante et plus dépaysante aussi – peut-être est-ce le voyage à Londres puis au Japon qui m’ont donné cette sensation. Je n’ai qu’un regret : qu’Akeno ne soit pas plus présent, j’ai eu un gros coup de cœur pour ce personnage atypique.

Comme souvent dans ses romans, Laure Allard-d’Adesky sait rendre ses héroïnes attachantes. Louise est gentille, touchante et j’apprécie sa façon d’être avec ses proches ou même avec ceux qu’elle rencontre. Emma m’a mis la pêche et m’a souvent fait rire : elle n’y va pas par quatre chemin, elle est franche et entière. Clémence est plus douce et plus réservée, mais elle est si bien dépeinte que je n’ai eu aucun mal à m’identifier à elle.
J’ai surtout parlé d’elles trois parce que ce sont les héroïnes, mais bon nombre d’autres sont tout aussi fascinants.

Vous l’aurez compris, c’est une lecture que j’ai adorée. Le temps m’a manqué pour avancer comme je le souhaitais, mais il était toujours très difficile de devoir m’interrompre… que ce soit pour travailler, manger ou même dormir.

Challenge Coupe des 4 maisons :
Haleine pimentée (2ème année) – Un livre qui vous a tenu en haleine – 20 points

 

Le royaume évanoui – Laura E. Weymouth

Titre : Le royaume évanoui
Auteur : Laura E. Weymouth
Éditeur : PKJ
Nombre de pages : 408
Quatrième de couverture : Une nuit, alors qu’Evelyn donnerait tout pour échapper aux bombardements qui touchent Londres, sa sœur Lena et elle sont transportées dans la Grande Forêt, fabuleux royaume peuplé de créatures fantastiques. Quand elles sont de retour quelques décennies plus tard (l’équivalent de quelques minutes terrestres), Evelyn a une idée fixe : retrouver le paradis perdu de la Forêt. Après quelques vaines tentatives, elle sombre dans la dépression… et disparaît. Lena, partie étudier outre-Atlantique, renoncera-t-elle à sa vie moderne et à son amoureux, Jack, pour sauver sa sœur bien-aimée ?

Je remercie Babelio ainsi que PKJ pour la confiance qu’ils m’ont accordée avec ce partenariat.
Ma chronique ne sera pas difficile à écrire, je sais depuis des jours ce qu’elle va contenir, mais par où commencer ? Peut-être par le plus simple

Le roman se divise en deux parties : le récit d’Evelyn sur 211 pages se passe en 1949, suivi par celui de Lena en 1950. Autant j’ai détesté la première histoire, du moins jusqu’à la page 170 environ – j’ai mis une semaine pour lire si peu -, autant j’ai adoré la seconde qui a été dévorée en trois jours.

Si le début a déplu, c’est pour plusieurs raisons :
je n’aime pas le personnage d’Evelyn qui m’a totalement laissée indifférente, par contre, je me suis attachée à Tom, c’est lui qui a sauvé la fin de la première partie.
les passages trop abrupts entre le présent d’Evelyn et son passé dans la Grande Forêt. Y a aucune transition de l’un à l’autre puisqu’on alterne à chaque chapitre. C’est assez désagréable parce que cela interrompt régulièrement des moments captivants et ça casse le rythme.
les passages qui se passent dans la Grande Forêt sont inintéressants et pas suffisamment développés pour que j’ai pu m’investir émotionnellement dans ce monde. Cervus est fade et je n’ai pas compris ce qui attachait tellement Evelyn à cet autre univers ou au cervidé, gardien de la forêt. Un récit pour moi aussi vide que l’est Narnia, la ressemblance est trop présente pour ne pas comparer avec l’œuvre de C.S. Lewis.

Par contre, dès qu’on arrive à la période des fêtes de Noël, tout change : les souvenirs sont mieux intégrés au sein du récit, le ton est plus sombre, et l’histoire devient captivante. Et je ne parlerai même pas de la partie avec Lena. L’auteure prend le temps de développer son personnage. La sœur aînée des Hapwel s’ouvre au lecteur et en devient d’autant plus attachante.
L’ambiance instaurée est spéciale, j’ai particulièrement aimé les moments au sein du musée de la National Gallery. J’ai adoré découvrir les coulisses de la restauration de tableaux. Et jusqu’à ce que Lena y travaille, je me demandais si l’auteure avait fait des recherches sur les années 50. Certains détails sont trop vagues et bien trop intemporels pour être passés sous silence sans que cela passe pour de l’ignorance : genre, le voyage en avion de Lena qui se fait en une nuit alors qu’à cette époque, c’était pas loin de 24h (même avec le décalage horaire, on en est loin). Sans compter qu’elle rentre quasiment tout de suite, il ne devait pas y avoir de trajet outre-atlantique tous les jours à cette époque… Quant à l’argent, un vol New-York Londres, c’était quasiment 400 dollars, une fortune ! Comment elle l’a obtenue ? Ça m’a fait grincer des dents et ce n’est pas la seule chose qui m’a fait cet effet.

Mais à partir du moment où Lena est embauché, je n’ai plus rien trouvé à redire à l’histoire. L’héroïne a réussi à m’incorporer dans sa vie, à me faire vibrer à ses côtés.
Je suis quand même contente d’avoir persévéré dans cette lecture parce que, malgré un début laborieux, j’ai finalement bien aimé et c’était pas gagné d’avance.

Challenge Coupe des 4 maisons :
Greta Grandamour (1ère année) – Un livre d’un auteur que vous n’avez jamais lu – 10 points