Description d’Urupa:
La cité se dresse à l’ombre d’une haute falaise à pic, sur une péninsule entre le fleuve et la mer. La falaise est environ haute de 300 mètres et la ville d’Urupa est entourée d’une muraille de 7 mètres de haut, jalonnée de 5 donjons.
Au niveau de la mer, vous pouvez voir 3 galères, et 5 drakkars amarrés le long du mur sud de la ville, à proximité du port naval.
La ville en elle-même est très propre, les murs sont d’un blanc immaculé, les rues très bien ordonnées par rapport à celles de Grand’Foire.
Histoire
Les PJs demandent Newtonjohn, on leur indique une immense boutique au bas de la rue.
Lorsqu’ils arrivent, ils voient une charmante jeune fille d’une vingtaine d’année, blonde aux yeux noisettes, très bien habillée. Les PJs demandent Newtonjohn, elle répond qu’il est parti en voyage il y a déjà 2 semaines, son retour est prévu pour dans 2 jours.
« Repassez à ce moment là! »
A l’auberge, une elfe du nom de Kalyndrah, ayant appris que les PJs viennent de Grand’Foire, les abordent. Elle est rousse, les yeux gris-vert. Elle est en pantalon avec un débardeur, un tatouage de couleur verte recouvre ses yeux, un peu comme un masque et un autre sur l’épaule.
Kalyndrah aimerait savoir s’il y a à Throal un temple d’Astendar.
Thrall passe cercle 2.
Sarden est un homme d’environ 70 ans. Malgré son grand âge, l’on peut voir qu’il devait être un bel homme dans sa jeunesse.
Il semble étonné d’avoir un enfant Ork. Ghworig a été conçu alors qu’il était sous l’effet de l’alcool, il avait envie d’essayer de nouvelles choses.
Dans le groupe d’aventurier, Sarden a un autre enfant: Epée de Velours.
Il leur propose de vivre avec lui parmi ses 20 autres enfants et ses 30 petits-enfants…
Epée de Velours reste à Urupa, Kalyndrah rejoint le groupe.
Et voilà, c’était le méchant coup de pute de Jess. Elle a donc abandonné son perso puisque son but était atteint. Par contre, Adrien a touché des PA et une pièce d’armure plutôt sympathique, en compensation. De plus, je compte bien utilisé ce petit bout d’histoire pour avancer dans ma chronique… Sarden n’est pas un homme ordinaire.