Titre: La Reine Margot
Auteur: Alexandre Dumas
Éditeur: Maxi-Livre
Nombre de pages: 635
Quatrième de couverture: Des » noces vermeilles » de Marguerite de Valois et Henri de Navarre, prélude au massacre des protestants, à la mort de Charles IX baignant dans une rosée de sang, les deux années qui s’écoulent comptent parmi les plus cruelles de l’histoire de France. Guerres civiles de religion, luttes d’influence au sein de la famille royale, complots et assassinats politiques forment la trame sombre sur laquelle se détache la figure de Margot. Beauté incomparable, dame galante, cette fille de France est aussi une femme de lettres doublée d’une redoutable politique ; Marguerite est avant tout une Valois, fille de roi, soeur de roi, femme de roi. Et le brave La Mole, ce jeune gentilhomme protestant réfugié dans l’alcôve royale pour échapper à ses assassins la nuit de la Saint-Barthélemy, sait que l’amour qu’il voue à cette perle le précipitera au coeur d’intrigues de pouvoir où la vie d’un homme n’a guère de poids.
C’est enffiiiinnnn fiiinniii!!!!!!!!!!
Bon sang, après des jours et des jours, je l’ai enfin terminé. Je devais le lire pour le challenge classique Livraddict, je savais très bien que ça allait être un calvaire puisque j’avais tenté de le lire il y a quelque chose comme 17 ans… Et j’avais abandonné tant il m’ennuyait.
J’espérais vraiment que je le trouverais mieux… Mais non. Je me suis ennuyée à mourir.
C’était d’une platitude. Les scènes se succédaient, d’une lenteur affligeante. Alors, quelques chapitres étaient intéressants et commençaient bien, l’action finissait par mourir dans des discours pathétiques, comme le massacre de la Saint-Barthélemy.
Je ne connais pas grand chose à cette période de l’histoire et j’attendais juste de pouvoir la découvrir. Je m’enthousiasmais d’avoir l’opportunité d’en savoir plus sur les Médicis, c’est loupé; pour cela, il faudra que je tente une autre lecture.
Je crois surtout que ce qui m’a beaucoup déplu au final, c’est le manque d’émotion. D’accord, on retrouve des sentiments très forts comme l’amitié qui va de paire avec une fidélité amicale abusée, allant jusqu’au ridicule. J’ai trouvé que d’autres passions comme l’amour que Marguerite ressent envers De La Mole semble très superficiel, la haine de Catherine pour Henri de Navarre est très présente, mais la Reine-mère n’en est pas particulièrement détestable, un comble pour une si ambitieuse empoisonneuse notoire. La Reine Margot ne m’a absolument pas paru sympathique (même si j’ai beaucoup apprécié sa fidélité en alliance envers son époux). Henri de Navarre et Charles IX le sont vaguement plus. L’intrigue parait trop simple et les complots semblent trop prévisible, alors peut-être est-ce les dialogues trop linéaires qui donnent cette impression. Je ne saurai dire.
Donc vous l’aurez compris, je n’ai absolument pas aimé. Ça n’a suscité ni curiosité ni intérêt pour cette époque historique et c’est bien dommage.
Je passe à 6/20.
C’est dommage que tu n’aies pas aimé ce livre… Je viens tout juste de le finir et, pour ma part, je l’ai adoré.