Le pain noir, tome 1 – Georges-Emmanuel Clancier

Titre : Le pain noir, tome 1
Auteur : Georges-Emmanuel Clancier
Éditeur : J’ai lu
Nombre de pages : 315
Quatrième de couverture : Il y a 100 ans, dans le Limousin, naissait Catherine Charron, une petite fille comme tant d’autres, tendre et craintive, habituée à chercher dans les bras de sa mère un refuge contre les espiègleries des aînés. Son père c’était le maître de la métairie, celui qui pétrit le pain et qui donne la joie, l’image de la toute-puissance, de la justice et de la bonté . Alors, pourquoi faut-il brusquement quitter cet univers de paix et de bonheur ? Pourquoi des parents aimants doivent-ils abandonner leur petite fille de huit ans à des étrangers qui abusent sans scrupules de cette servante docile ? Pourquoi la mort enlève-t-elle une mère à ses enfants ? Catherine souffre et se révolte mais ne trouve pas de réponses, pas encore…

Ça fait des décennies que j’ai ce roman dans ma pile à lire. Il appartenait à ma maman qui me l’a donné y a un moment déjà. Je pense que si je ne l’avais pas tiré au hasard via livraddict, je ne l’aurais probablement jamais lu.
Franchement, je suis ravie de cette lecture.

La famille Charron entretient une métairie. La vie est difficile, mais ils sont heureux. Malheureusement, ça ne dure pas. Ils changent de métairie (ce qui est censé être mieux puisque la propriété est plus grande et les terres plus fertiles), l’un des enfants tombent malade et les remèdes coûtent chers ; l’honnêteté du père pose problème au propriétaire de la terre. C’est le début de la fin.

Ce n’est pas une lecture très gaie, mais comme on suit principalement Catherine qui doit avoir 6 ans au début du roman (et 13 ans à la fin), le tableau n’est pas aussi noir que si elle était adulte. Cependant, les personnages, pour la plupart, sont sympathiques et attachants.
Certaines scènes sont un peu crues (celle avec l’oiseau m’a traumatisée), mais ça aurait pu être bien pire. Beaucoup de non-dits, mais on n’a aucun mal à lire entre les lignes et à comprendre ce qui se passe, notamment avec Marietta et Robert pour ne citer qu’eux. Pas difficile non plus de deviner que la décision du père aura des conséquences dramatiques sur sa petite famille – j’avoue que je n’imaginais quand même pas autant.

Les chapitres sont relativement courts et se lisent rapidement. Je n’ai eu aucun mal à m’immerger dans l’histoire et j’avais très envie de découvrir la suite.
Je n’ai malheureusement que le premier tome de cette saga. Il faudra que je me procure les suivants si je veux savoir ce qui attend encore les Charron.
Je conclurai en précisant que j’ai adoré cette lecture.

Vlog 2025, semaine 26 : Même malade, je tricote ! 🧵🤧

On se retrouve pour le 26e vlog de l’année 2025, où je partage mes loisirs créatifs et mes coups de cœur du moment 🎨📚
Petit vlog cette semaine, je suis malade 🤒… mais j’ai quand même avancé mes projets créatifs !
Au programme : un peu de lecture (Le Pain noir), la tige jacquard terminée de ma chaussette de Noël 🧦, les pinces poitrine de mon top Ananke 🪡, et le corps de l’amigurumi Neon en cours côté crochet 🎮.
Et pour se reposer : *Dear Hongrang*, toujours en cours📺

Vlog 2025, semaine 25 : France Kal, crochet geek & week-end en famille 🧶🎮🎉

On se retrouve pour le 25e vlog de l’année 2025, où je partage mes loisirs créatifs et mes coups de cœur du moment 🎨📚
Cette semaine, j’ai tricoté mon top Ananke et cast-on une paire de chaussettes de Noël dans le cadre du France Kal 🎄🧦 Côté crochet, j’ai commencé un amigurumi inspiré de Valorant, et en diamond painting, j’ai avancé le tigre mandala et réalisé une carte d’anniversaire.
Petit plus social : une soirée concert avec des collègues, suivie d’un week-end en famille dans le Jura pour l’anniversaire de ma tante – bien entendu, mes encours tricot et crochet m’ont accompagnée 😄
📺 Et toujours un peu de détente avec quelques séries et animés.

Alpi the Soul Sender, tome 4 – Rona

Titre : Alpi the Soul Sender, tome 4
Auteur : Rona
Éditeur : Ki-oon
Nombre de pages : 173
Quatrième de couverture : Malgré ses réticences, Alpi est finalement parvenue à libérer l’esprit divin de la foudre… Comme promis, Sersela lui raconte son passé et sa rencontre avec Polga et Arikka, deux souls senders qui n’ont pas hésité à lui venir en aide alors qu’elle était en difficulté.
Heureuse d’en avoir appris un peu plus sur ses parents, mais aussi d’avoir mûri grâce à sa rivale et amie, Alpi reprend sa route aux côtés de Pelenai… Leurs pas les mènent alors là où toutes les connaissances du monde sont réunies : à Ashmarte, la ville-bibliothèque ! En effet, le conservateur des lieux pourrait bien aider la jeune fille…

J’avoue qu’en commençant cette lecture, j’ai eu un doute : est-ce que j’avais lu le précédent ? Et au bout de quelques pages, j’avais confirmation que oui : le visage du conservateur de la bibliothèque quand il s’assombrit m’a rappelé les événements précédents.

Donc Alpi et Pelenai sont invités à rester à la bibliothèque. Pendant le repas, notre héroïne aborde la raison de sa présence : elle suit la trace de ses parents, ont-ils rencontrés leur hôte ? On comprend assez vite que le conservateur a eu affaire à eux, mais il n’en dit rien et cela n’a pas échappé à Pelenai. La suite soulève bon nombre de questions : qu’est-il arrivé aux deux soul senders ? Qui est vraiment Pelenai ? Qui sont les relations haut placées du conservateur ?

Je n’ai pas pu lire ce manga d’une traite, ce qui a été particulièrement frustrant : il est passionnant et j’avais envie d’avancer dans ma lecture.
Le scénario semble cohérent et bien ficelé. Je me suis laissée porter par le récit. J’ai vibré lors des moments forts, me sentant stressée et oppressée quand Alpi était en mauvaise posture, et soulagée lorsque la tension redescendait… pas pour très longtemps.

Les dessins sont superbes. Je me suis attardée avec plaisir sur pas mal de planches et j’ai trouvé qu’il y avait beaucoup moins de soucis de proportionnalité au niveau du corps des personnages.
Si je m’écoutais, j’entamerais tout de suite le prochain, mais je vais être raisonnable et plutôt nettoyer la cage du furet.
Bref, c’est un coup de cœur pour ce quatrième tome.