Black Butler, tome 18 – Yana Toboso

Titre : Black Butler, tome 18
Auteur : Yana Toboso
Éditeur : Kana
Nombre de pages : 172
Quatrième de couverture : « D’après notre pacte, votre vie passe avant tout… »
Ciel a découvert ce qu’étaient devenus les élèves disparus. Les petits incidents survenus entre les élèves d’une « public school » ont fini par entraîner une grande menace qui confond même les diables… La lune jaune éclaire le combat de deux bêtes féroces qui jouent avec la vie des gens…

J’avais envie de lire un manga mis en pause depuis longtemps, d’une lecture rapide, pas prise de tête et ce dix-huitième tome m’a paru idéal.

Surtout qu’il conclut l’affaire de la public school et de la disparition de Derek, membre de la famille royale. On connaît enfin le dénouement et les raisons qui ont entraîné la mort de l’étudiant. Sans pour autant cautionner les événements qui sont, disons-le, extrêmes, il ne méritait pas beaucoup mieux comme sort. Dès le début, on reprend la scène interrompue dans le tome précédent avec Undertaker. J’avoue que j’avais presque oublié qu’il était mêlé à l’histoire. J’aime toujours autant son lore cinématographique.
La seconde moitié du manga est composée d’un récit intermédiaire puis commence une une nouvelle intrigue qui me donne bien envie de commencer le prochain tome.

Les personnages sont égaux à eux-mêmes. Les déductions de Ciel sont brillantes, mais il se met souvent en danger. Sebastian est ultra protecteur… je ne comprends toujours pas pourquoi : Ciel lui a vendu son âme, ce serait tout bénéf pour lui que le jeune maître trépasse.
Rien à redire sur les dessins, ils sont top. Les scènes de combat sont fluides et claires. Les personnages sont relativement bien proportionnés et beaux. Un plaisir de s’attarder sur les illustrations.

Je retrouve l’ambiance des premiers, un peu sombre avec un scénario bien ficelé. Bref, j’ai adoré cette lecture.

L’Etrange Noël de Zéro, tome 1 : Kei Ishiyama & DJ Milky

Titre : L’Etrange Noël de Zéro, tome 1
Auteur& : Kei Ishiyama & DJ Milky
Éditeur : Nobi nobi !
Nombre de pages : 208
Quatrième de couverture : Génie créatif, Jack Skellington est le roi incontesté de la fête d’Halloween. À chacune de ses nouvelles et effrayantes créations, se trouve à ses côtés Zero, son fidèle chien fantôme. Mais la panique s’abat sur Halloween Town lorsque, suite à un malheureux incident, Zero disparaît !
Perdu dans un pays curieux d’arbres décorés, de cadeaux emballés à la main, et de chants joyeux, le chien fantôme doit alors parcourir le monde inconnu de Christmas Town pour retrouver le chemin du retour ! D’autant plus qu’avec Jack parti à sa recherche, les préparatifs d’Halloween sont mis en pause… Seront-ils réunis à temps pour sauver les deux fêtes ?!

Je ne me souviens plus quand cette saga m’a été offerte, à Noël dernier ou à mon anniversaire… tout ce que je sais, c’est que j’attendais avec impatience cette période de l’année pour pouvoir le lire.
Je me suis lancée sans avoir connaissance du résumé, mais comme j’adore l’univers de l’étrange Noël de monsieur Jack, il y avait de forte chance que cette lecture me plaise.

Jack Skellington est en train de travailler lorsque son chien fantôme, Zero, le distrait ; il recherche son attention. Le maître d’Halloween cède à l’envie de jouer de son compagnon… ils foutent un bordel monstre et dans l’excitation du moment, Zero est emporté par un portail et se retrouve à Christmas Town.
Jack envoie trois des habitants d’Halloween pour le retrouver.

J’adore le personnage de Zero. Il est tellement chou et touchant avec son nez citrouille. Il n’a pas besoin de parler pour transmettre ses émotions.
J’apprécie beaucoup moins les trois missionnés. Ce sont les mêmes que ceux qui ont enlevé le père Noël pour le donner à manger à Oogie-Boogie. Je les trouve désagréables (pour rester polis) et énervants.

J’adore les dessins. Les character design sont connus, ils sont aisément adaptables en manga. La preuve avec ce premier tome.
J’ai beaucoup aimé cette lecture et je conserve le second de côté pour l’an prochain.

To your eternity, tome 06 – Yoshitoki Oima

Titre : To your eternity, tome 06
Auteur : Yoshitoki Oima
Éditeur : Pika
Nombre de pages : 192
Quatrième de couverture : Imm a passé avec succès toutes les manches du tournoi, jusqu’à l’arrivée inattendue d’Hayase ! Il va devoir affronter celle qui a tué March et Palona, ce qui le met dans une colère noire. Malheureusement, elle parvient à gagner en l’endormant et l’enlève. Tonali est bien décidée à arracher Imm des griffes d’Hayase !

Comme à chaque fois avec ce manga, j’en ai pris plein la tronche… j’ai tellement accroché qu’à peine levée, j’ai repris la lecture interrompue hier.

Hayase a enlevé Imm. Tonali se voit la possibilité de quitter l’île avec 700 personnes si elle laisse Imm derrière elle. Une telle offre, impossible de la rejeter ! Mais une fois sur le bateau, elle est prise de remords et débarque pour sauver Imm. Malheureusement, les knockers attaquent l’île.

La trame de l’histoire peut sembler récurrente : Imm rencontre des gens qui finissent par mourir (ben oui, on est dans to your eternity, les héros meurent systématiquement quelqu’en soient les raisons), les knockers débarquent et mettent tout à mal… pourtant chaque tome est différent (pour combien de temps ?).
Les personnages rencontrés par Imm sont pour la plupart sympathiques et touchants. La mangaka leur donne une véritable profondeur, ce qui les rend attachants.

Les illustrations sont remplies de détails, j’aime m’y attarder. Ça ajoute du charme à cette série et permet une immersion totale (en ce qui me concerne).
Le gros plus pour moi, c’est le résumé en début de tome. Avec ma mémoire de poisson rouge (ou parce que ma charge mentale est trop lourde donc mon cerveau fait du tri sélectif), j’ai parfois du mal à me souvenir de ce qu’il s’est passé dans le tome précédent…
Je conclurai en disant que cette lecture est un gros coup de cœur.

Toilet-bound Hanako-kun, tome 10 – Iro Aida

Titre : Toilet-bound Hanako-kun, tome 10
Auteur : Iro Aida
Éditeur : Pika
Nombre de pages : 176
Quatrième de couverture : Enfermés dans le tableau créé par le quatrième mystère, Shijima, Nene et Kô apprennent par cette dernière qu’ils pourront regagner leur monde uniquement s’ils ôtent la vie d’Amane Yugi, ainsi que celle de Sôsuke Mitsuba. Les deux amis, révulsés par cette idée, préfèrent chercher un autre moyen pour s’échapper de ce paradis infernal. De son côté, Kô tente de convaincre Mitsuba de retourner dans la réalité. Nene, quant à elle, essaie de quitter cet univers pictural en emmenant Amane le plus loin possible à la recherche des limites de ce monde. Mais la jeune fille va se confronter à un obstacle inattendu…

Heureusement que dès le début, Yashiro nous fait un résumé des événements précédents parce que je ne me souvenais de rien !
Donc Nene et Minamoto sont coincés dans une des toiles de Shijima qui représente l’école de nos héros avec tous les élèves. Pour pouvoir sortir de ce piège, ils doivent tuer Mitsuba et Amane. Vont-ils réaliser les desseins du quatrième mystère ?

Une fois de plus, je n’ai pas vu défiler les pages. Il se passe beaucoup de choses, il y a pas mal de dialogues, mais c’est fluide et rapide à lire tellement j’étais prise dans le récit.
Je prends toujours autant de plaisir à m’attarder sur les illustrations. Je devrais être habituée au charadesign, et limite être blasée, mais ce n’est pas le cas : ils me fascinent comme au premier jour. J’avoue que prendre le temps de contempler chaque planche me plaît bien : ça me permet de ne pas arriver trop vite à la fin.

En ce qui concerne les personnages, je les apprécie toujours autant. Même la version monde pictural de Mitsuba… pourtant, ce n’était pas gagné.
Shijima est flippante… elle est partout ! Pire que l’œil de Moscou !
J’aurais bien aimé que Nene et Minamoto fassent équipe dans ce dixième tome, mais ce n’est pas le cas : ils sont séparés et pendant que notre exorciste préféré confronte son ami Mitsuba, l’assistante d’Hanako décide de fuir avec Amane.

Bref, il est tard (0h20 à l’heure où je rédige ma lecture), c’est donc le moment de conclure : c’est un coup de cœur pour cette lecture.

Soul eater, tome 01 – Atsushi Ohkubo

Titre : Soul eater, tome 01
Auteur : Atsushi Ohkubo
Éditeur : Kurokawa
Nombre de pages : 201
Quatrième de couverture : Afin d’accéder au rang suprême de « Death Scythe », une arme démoniaque doit ingérer 99 âmes humaines et une âme de sorcière. Cette mission est confiée aux Meisters, des spécialistes du combat qui vont récolter les âmes au péril de leur propre vie. Dans Soul Eater, partez à la chasse aux âmes en compagnie des élèves de l’institut Shibusen, école de formation pour faucheurs d’âmes !

Ça fait longtemps que j’ai cette saga dans ma pile à lire, depuis sa première sortie donc 2009 pour ce premier tome… ça commence à remonter.
Je l’ai souvent sorti de ma bibliothèque, mais j’ai été incapable de le lire. Pour une raison toute simple : j’ai adoré de fou l’animé et je redoutais qu’il n’en soit pas de même pour le manga.

Les premières pages ont été difficiles. Je n’ai pas pu m’empêcher de comparer avec l’animé. Les dessins sont moins beaux, le character design est semblable, mais moins classe ; c’est noir et blanc donc on perd tout le charme des couleurs harmonieuses ; les mouvements me semblent statiques. Pourtant, la trame de l’histoire est la même, le caractère des personnages est respecté et l’univers est tout aussi déjanté.

On suit trois meisters qui ont tous une arme démoniaque différente.
– Maka utilise Soul, une faux ;
– Black Star combat avec Tsubaki, grappin-faucheur ;
– Death the Kid travaille avec les sœurs Thompson ( Liz et Patty), un duo de pistolet.
Je ne sais pas exactement ce que sont les armes : elles peuvent prendre une forme humaine.
Leur but : avaler 99 âmes humaine et une âme de sorcière afin de devenir Death Scythe, larme ultime de Shinigami le dieu de la mort.

J’aime les personnages. Ils sont complètement timbrés. C’est abusé et ça pourrait saouler certains, mais je les trouve drôle.
J’ai beaucoup aimé cette lecture. Pas autant que l’animé, mais au moins, je ne suis pas déçue.