Barry Trotter, l’intégrale – Michael Gerber

Barry Trotter, l'intégrale - Michael Gerber -  10 ans BragelonneTitre: Barry Trotter, l’intégrale
Auteur: Michael Gerber
Éditeur: Bragelonne
Nombre de pages:
590
Quatrième de couverture: Alors comme ça, vous pensiez que c’était fini ?
HAR HAR HAR (rire dément)
Mais non, il revient, Barry Trotter, le plus célèbre élève de l’école de sorcellerie de Coudbar !
Tout commence alors que Barry a vingt-deux ans et un gros poil dans la main, ça continue quand il en a trente-neuf mais encore moins de neurones, et puis, hop ! grâce à une admirable ruse du récit, on revient en arrière quand, âgé de neuf ans, il était juste épouvantable.
RIEZ des tentatives inexplicablement ineptes de Lord Valdemarne pour tuer Barry !
TIREZ la barbe du vénérable Pludbus Céldèlbore !
TREMBLEZ devant les manies de Lon Muesly aux toilettes !
Pardon ? Vous voulez déjà échanger ce bouquin mais vous avez perdu, le ticket de caisse ? Comme c’est bête…

J’ai lu ce livre dans le cadre de la lecture commune des mois d’août et septembre de Le Cercle de Critiques Littéraire des Lecteurs Économes. Du coup, mon chéri me l’a offert début août pour mon anniversaire, et je n’ai trouvé le temps de le lire que vers le 20 du mois dernier, ça aurait dû suffire pour le terminer dans les temps… mais non ! J’ai donc quelques jours de retard suite à un emploi du temps extrêmement chargé et de plus en plus jusque fin septembre… Zut !
Ce livre fait parti de la série: 10 ans Bragelonne, 10 romans, 10€
C’est bien entendu une version intégrale qui comporte les 3 volumes de Barry Trotter:

Barry Trotter et la parodie éhontée.
Barry Trotter et la parodie éhontée
L’histoire débute à Coudbar. Barry a redoublé cinq fois sa dernière année et ne compte absolument pas quitté son école de magie. Or, sa renommée tant dans le milieu Glandu que chez les Magiciens ont mis en péril la survie de l’école et le film, en cours de tournage portant sur la vie dissolue de Barry Trotter, la forcera à fermer. Pludbus Céldélbore ne laisse pas le choix au héros: le film ne doit jamais sortir ou Barry sera expulsé de Coudbar et devra trouver un travail. Ça donne déjà le ton !
J’ai relativement bien aimé ce premier tome. Le début est très drôle, j’ai souvent beaucoup rigolé, parfois seulement souri. Par moment, j’ai également trouvé ça très lourd mais au bout d’un moment on s’y fait, et ça fait parti du décor et c’en est presque plaisant. Par contre, je me serais bien passée de certains détails scatophiles, pour moi, ça reste le réel point noir, plus que l’humour gras qu’on subit tout du long.
J’ai eu un peu de mal à avancer, m’endormant régulièrement au bout de quelques pages, mettant énormément de temps à lire cette première partie qui pourtant m’a bien plut. J’avoue qu’au début, c’était principalement parce que je ne voyais pas trop ou tout cela allait nous mener, ni dans quelle direction on allait, mais par la suite, la cause principale en était un emploi du temps chargé qui ne me permettait pas plus de 30 minutes de lecture quotidienne, donc pas trop le temps d’avancer comme je l’aurai aimé.
Mais ça reste un bon moment, amusant, une lecture qui passe agréablement le temps.

Barry Trotter et la suite éhontée
BarryTrotter et la suite inutileCette fois-ci, on retrouve Barry Trotter à 38 ans, marié, ayant deux enfants. Son fils aîné, Nigel, n’a pas de pouvoirs magiques, pourtant, parce que ses parents y tiennent absolument, il doit entrer à Coudbar qui est devenu un grand n’importe quoi ! En parallèle, une réunion d’anciens élèves est organisé dans cette fameuse école et autant vous dire que Barry Potter est de la partie.
J’ai nettement préféré ce volume-ci. Dès le début, on sait ou l’on va; on ne vivote pas comme dans le précédent. C’est beaucoup plus parodique à mon goût que le premier tome étant donné que ça se passe au sein de Coudbar. Ça reste lourd, mais c’est mieux passé. 🙂
C’est un peu moins drôle parce que moins gros, mais bien plus plaisant à lire.

Barry Trotter et le cheval mort
Barry Trotter et le cheval mort
Je n’ai pas aimé ce volume. C’est celui-ci qui aurait dû s’appeler la suite inutile; voyez donc -rassurez-vous, je ne spoile pas:
dans le volume précédent, Barry a subi un sort qui aurait dû le mener à sa mort. Cela a été évité de justesse, malheureusement, le mal est fait, et le sort ne peut être inversé. Barry essaie de guérir, mais pour cela, il retourne par hypnose lors de sa cinquième année.
Donc tout le livre, c’est un énorme flashback. Le truc inutile par excellence !

J’ai trouvé ça long, chiant. Je suis contente d’avoir écrit mon avis sur les tomes précédents avant, parce que cette partie m’a juste gâché le plaisir. Pourtant, j’ai quand même rigolé dans les dernières pages mais j’en ai vite eu marre, mais j’avais grandement hâte que ça finisse, je pense que la raison en est qu’on voit nettement moins les autres personnages: Ermine, Lon ou Nigel que je préfère davantage.

En conclusion, j’ai aimé les 2 tiers du livre, le troisième était de trop.  Du coup, je finis sur une note négative, et c’est saoulant.

Le Cercle de Critiques Littéraires des Lecteurs EconomesLecture du mois d’août-septembre avec Le Cercle de Critiques Littéraire des Lecteurs Économes, voici d’autres avis qui y ont participé:

Immobile – Valérie Sigward

Immobile - Valérie SigwardTitre: Immobile
Auteur: Valérie Sigward
Éditeur: POCKET
Nombre de pages: 89
Quatrième de couverture:
C’était les vacances, le soleil. Il faisait chaud. Il y avait le lac. Anna a plongé. Quand sa tête a heurté le rocher, elle a tout de suite compris. Elle n’était pas morte, son esprit fonctionnait, mais quelque chose s’était cassé. Quelque chose qui reliait son cerveau à son corps. Tétraplégique ont dit les médecins à l’hôpital. Ça veut dire immobile. Ça veut dire que tout va changer. Pour elle, mais aussi pour ses proches. Tiraillés par l’incrédulité, l’angoisse, le chagrin, la culpabilité, eux aussi vont devoir réapprendre à vivre. Et accompagner Anna dans le monde de glace et de silence qui est désormais le sien…

Il ne m’a pas fallu plus d’une journée pour lire ce livre en raison du peu de pages qui le compose.
Il est écrit à la première personne: c’est la sœur de la copine d’Anna qui raconte l’avant et l’après accident, sachant que c’est ce dernier point qui a la part la plus importante du récit. J’ai trouvé que le résumé extrapolait drôlement l’histoire: l’accompagnement d’Anna dans ce monde de glace et de silence est pour le moins traité de très loin. On a, d’un côté, l’histoire de ceux qui attendent que les choses s’améliorent, qui errent dans les couloirs de l’hôpital espérant un changement, côtoyant ou croisant d’autres patients et leur famille et de l’autre; la vision d’Anna qui s’intercale entre chaque chapitre le temps d’une ou deux pages maximum.

L’histoire en elle-même est loin d’être originale, un après-fait divers vue du côté des proches, pourtant, un sujet traité avec beaucoup de justesse à mon sens. Une seule chose m’a posé problème: la narration. Je suis de la vieille école, j’aime les ponctuations et les sauts à la ligne. Là, le récit et les conversations se suivent sans points, sans tirets, seulement séparés par des virgules. Ça rend les phrases relativement longues, ça donne la sensation de ne pas avoir le temps de respirer, d’être pris au piège par la rapidité de pensée des protagonistes, par la panique qu’un tel accident peut provoquer chez ceux qui attendent et se sentent coupables. Ça oblige le lecteur à rester attentif à sa lecture, sinon, on est quitte pour reprendre le paragraphe pour mieux comprendre le déroulé des conversations.
J’ai relativement bien apprécié cette lecture, autant par sa rapidité que par la pertinence du récit. De plus, le thème est de saison, un point positif de plus.

Le Cercle de Critiques Littéraires des Lecteurs EconomesLecture du mois de juillet avec Le Cercle de Critiques Littéraire des Lecteurs Économes, voici d’autres avis qui y ont participé:

 

 

Autobiographie d’une courgette – Gilles Paris

Autobiographie d'une courgette - Gilles ParisTitre: Autobiographie d’une Courgette
Auteur: Gilles Paris
Éditeur: J’ai Lu
Nombre de pages: 255
Quatrième de couverture:
Elle ressemble à une poupée de chiffon toute molle et ses yeux sont grands ouverts. Je pense aux films policiers où des tas de femmes se font tuer et après elles ressemblent à des tas de chiffons toutes molles et je me dis « c’est ça, j’ai tué maman ».
Ainsi commence l’aventure d’Icare, alias Courgette, un petit garçon de neuf ans qui tue accidentellement sa mère alcoolique d’un coup de revolver. Paradoxalement, la vie s’ouvre à lui après cette tragédie, et peut-être même un peu grâce à elle. Placé dans un foyer, il pose avec une naïveté touchante son regard d’enfant sur un monde qu’il découvre et qui ne l’effraie pas. De forts liens d’amitié se créent entre lui et ses camarades. Et puis surtout, il tombe amoureux de Camille…

Je viens de le finir pour la Lecture Commune de Le Cercle de Critiques Littéraire des Lecteurs Economes pour le mois de juin. Il ne m’a pas fallu beaucoup de temps pour le finir malgré un emploi du temps surchargé.

Je suis assez partagée quant à mon avis sur ce livre.
D’un côté, j’ai bien aimé: le personnage principal est particulièrement attachant d’autant plus que la narration est à la première personne, on a vraiment la sensation d’avoir affaire à un enfant de plus ou moins 9 ans (certaines réflexions me font me questionner quant à la maturité du protagoniste): il a la naïveté, la franchise et la fraîcheur d’un enfant. Il m’est arrivé plus d’une fois de sourire ou même d’éclater de rire lors de certaines scènes.
D’un autre côté, c’est cette narration à la première personne qui m’a bloqué et m’a empêché d’aimer cette œuvre touchante. On a vraiment l’impression de se retrouver face au discours d’un enfant mais malheureusement (et c’est LE gros point noir) comme chaque histoire conté par un enfant, le récit est truffé de « et… et… et… et puis… et… ». C’est pas que ça me dérange d’avoir 5 « et » dans une phrase, mais quand même un peu.
Mais soyons honnête, c’est quand même très impressionnant d’avoir réussi à se placer dans l’esprit de Courgette, garçon de 9 ans, de parler comme un gamin de son âge l’aurait fait. Tout aussi impressionnant de maintenir ce style du début à la fin sans ciller. Mais malgré cela, ça reste assez fatigant… Imaginez lire le triste récit de la vie d’Icare et d’un foyer sur 255 pages avec des mots d’enfants! Épuisant! On cherche juste le bouton OFF; là, heureusement quand c’est trop, on peut fermé le livre et faire une pause.

autobiographie-courgette

Ce que j’ai aussi bien aimé, hormis les personnages (parce qu’ils sont tous à leur manière attachants), c’est la sensation par moment de redevenir enfant. En effet, plus d’une fois, les réflexions que peut se faire Courgette, je me les étais souvent faites enfant: dans ma famille, on utilisait beaucoup le langage imagé et il m’est arrivé plus d’une fois de vouloir les prendre au pied de la lettre, essayant de m’imaginer d’où elles pouvaient venir, quel en était leur origine en partant du principe qu’elles devaient avoir un sens pragmatique. Je pense qu’on a tous eu ce genre de pensées, des pensées qu’on a oublié en devenant ces « grandes personnes -qu’il- faudrait […] secouer pour faire tomber l’enfant qui dort à l’intérieur ».
Un charmant retour en enfance.

Bref, je reste sur ma position mitigée: sympa mais sans plus.

Le Cercle de Critiques Littéraires des Lecteurs Economes

Lecture du mois de juin avec Le Cercle de Critiques Littéraire des Lecteurs Économes, voici d’autres avis qui y ont participé:
Obsédée par la lectureAu rendez-vous littéraire

Petit éloge de la rupture – Brina Svit

Petit éloge de la rupture - Brina SvitTitre: Petit éloge de la rupture
Auteur: Brina Svit
Éditeur: Folio
Nombre de pages:
111
Quatrième de couverture:
« Je vais essayer de tenter quelque chose, moi qui ai eu pendant longtemps peur de la rupture : ce n’est certainement pas par hasard que mes anciens amants sont tous restés mes meilleurs amis et que j’ai mis plus de vingt ans à quitter ma langue maternelle et commencé à écrire en français. Si j’écris sur la rupture, si j’ai perdu mon texte initial, si je dois recommencer, autant y aller franchement et faire une vraie rupture : un texte qui tranche, qui invente, qui fait exploser une forme rigide, qui s’ouvre aux autres. »

Je pense que pour ce livre, mon avis sera court. Beaucoup plus court que ce que m’a paru cette pénible lecture. Vous l’aurez compris, j’ai détesté. Je déteste rarement des livres, le plus souvent, je n’aime pas, tout simplement. Pas là.
Déjà, je suis assez déçue, le livre n’est pas du tout ce que la quatrième de couverture annonçait: on ne sens pas particulièrement cette peur de la rupture que la narratrice annonce, ce n’est pas non plus un texte qui tranche, qui invente, […] qui s’ouvre aux autres.
Les premières pages commencent relativement bien, une histoire banale de liaison. Et d’un coup, sans prévenir, on passe à tout autre chose. L’auteur alterne entre cette histoire, ce qui l’a motivé à écrire cette nouvelle, les relations avec son éditeur et d’autres personnes (d’ailleurs, j’ai trouvé détestable le fait de les nommer une seule fois pour passer par la suite à leurs initiales). Bref, elle passe du coq à l’âne sans transition, c’est plus que déstabilisant et surtout énervant au possible.
Le titre annonce quand même un éloge. Je n’ai trouvé aucun éloge de la rupture. L’auteure aborde de temps en temps ce thème de la rupture, mais ça reste occasionnel, elle parle davantage de ses soucis avec la langue française, des difficultés de l’écriture de son livre, etc…
Je m’attendais à une réflexion sur la rupture, la douleur que cela procure, le soulagement une fois qu’elle est consommée, les avantages que cela peut entrainer, etc… Rien de tout cela.
Alors je ne dirai pas que l’auteure n’a pas essayé: par moment, elle jette un caillou dans la mare en espérant que cela ricoche et fasse des petits… Le soucis est qu’elle ne va pas suffisamment loin dans sa réflexion pour nous lancer à sa suite. Résultat, le caillou jeté tombe dans l’eau avec un gros PLOUF et se noie dans un grand flou…

Bref, j’ai l’impression d’avoir perdu 2 jours de lecture. Une grosse déception…

Le Cercle de Critiques Littéraires des Lecteurs Economes

Lecture du mois de mai avec Le Cercle de Critiques Littéraire des Lecteurs Économes, voici d’autres avis qui y ont participé:

 

Jane Eyre – Charlotte Brontë

Jane Eyre - Charlotte BrontëTitre: Jane Eyre
Auteur: Charlotte Brontë
Éditeur:
Le Livre de Poche
Nombre de pages:
540
Quatrième de couverture:
Le vent dans les landes désolées a creusé l’âme des sœurs Brontë. Seules, elles se sont inventé une compagnie, célibataires, elles ont rêvé l’amour. Publié en même temps que le livre de sa soeur Emily, Les Hauts de Hurle-vent, le roman de Charlotte connut d’emblée un immense succès.
Une jeune gouvernante aime le père de ses élèves et est aimée de lui. Mais elle résiste à cet amour, découvrant avec horreur l’existence de la première femme de Rochester, pauvre folle enfermée par son mari. L’histoire, qui trouve son origine dans la jeunesse tourmentée de son auteur, fait se succéder coups de théâtre et de passion, fuite éperdue dans les landes et sens du devoir jusqu’à l’héroïsme.
Jane Eyre est l’un des plus beaux romans d’amour anglais du XIXème siècle. Tout y est romantique et tout y est vrai. Jane Eyre, c’était Charlotte Brontë elle-même.

Bon, quand je lis ce résumé, je me demande si la personne qui l’a fait a réellement lu l’histoire. D’abord, il n’y avait pas DES élèves, mais UNE élève. Ensuite, il est sympathique, mais il révèle un peu toute l’intrigue, du coup, l’histoire a un peu moins d’intérêt.
Mais, là, vous me direz, je chipote. Il est vrai!
Pour moi, de lire ce résumé à part me hérisser les poils, ça ne change finalement pas grand chose: l’histoire, je la connaissais du début à la fin parce que c’était ma 3ème relecture du livre. Je l’ai fait parce que je tenais absolument à en écrire un article. J’avais adoré ma première lecture à l’âge de 15 ans, grandement aimé à l’âge de 25 ans et maintenant, pas loin d’une di…kof, kof, kof…aine d’années plus tard, j’ai nettement moins aimé.

Pourquoi ce si gros changement de point de vue? Je pense que c’est parce que je ne me reconnais plus en Jane Eyre. Comme elle, j’avais l’intransigeance qu’une éducation trop sévère avait forgé. Ceci mêlé à l’inexpérience de la jeunesse qui la conforte dans des certitudes un peu trop fermées, ça fait un mélange détonnant. J’étais un peu comme ça. Mais maintenant, je trouve qu’il est déplorable de voir que peu importe les tristes événements qui accablent l’héroïne, elle ne change pas et reste engoncée dans ses certitudes, ne se détournant pas de ses vertus hautement religieuses que je qualifierais avec l’expérience d’hypocrites. Bref, c’est loin d’être un personnage très sympathique mais j’apprécie pourtant le fait qu’elle ne porte pas de jugement sur les actes des autres et qu’elle essaie de comprendre le pourquoi du comment tout en en étant incapable.
Je crois que je déplore surtout le fait qu’autant elle se défend et tient tête à Mr Rochester, autant, elle se laisse manœuvrer face à St John et à sa volonté pastorale de fer. Et ça m’a prodigieusement énervée. Autant que les nombreuses références bibliques et les tout aussi nombreuses et non moins ennuyeuses leçons de morale qui prennent appui dans la religion.

Jane Eyre Folio Classique

J’ai mis pas mal de temps à le lire (une dizaine de jours, ce qui est long quand même, même en comptant que je n’ai pas pu lire plus de 20 pages un fameux week-end très chargé), peut-être était-ce dû au fait que je connaissais l’histoire, aucune surprise, pas davantage l’envie d’avancer, de découvrir une suite et une fin connue.
Je me suis aussi rapidement rendue compte que les parties que j’avais adorée, je m’en souvenais parfaitement et encore maintenant, je les ai vraiment beaucoup apprécié. Mais les parties dont je ne me souvenais pas, je ne les ai pas aimé. Comme quoi, la mémoire est sélective.

Le Cercle de Critiques Littéraires des Lecteurs EconomesLecture du mois d’avril avec Le Cercle de Critiques Littéraire des Lecteurs Économes, voici d’autres avis qui y ont participé:

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