Monster Girls Collection, tome 3 – Suzu Akeko

Titre : Monster Girls Collection, tome 3
Auteur : Suzu Akeko
Éditeur : Soleil
Nombre de pages : 176
Quatrième de couverture : Tout bon monstre qui se respecte doit savoir effrayer ! Pour cela, Ichika et ses camarades doivent absolument obtenir leur diplôme de monstre ! Mais dans leur classe, la plus mauvaise de toutes, étudier n’est pas une mince affaire ! Entre tricheries et règlements de comptes sanglants, Monsieur D, leur professeur principal, va avoir bien du mal à les emmener jusqu’au diplôme…

Je n’étais pas très motivée pour lire ce troisième tome, comme le second ne m’avait pas laissé un souvenir impérissable… mais finalement, c’était sympa… toujours aussi exagéré sans pour autant l’être à l’excès. Les histoires étaient indépendantes les unes des autres et on continuait à découvrir un bout du passé des camarades de classes de Luo.

Ainsi, on rencontre les parents de Reika et leur situation.
Ringo entre en politique et se fait conseiller par son père, le roi des enfers ; elle est totalement nulle, que ce soit en cours ou dans sa manière d’appliquer les conseils de son paternel… en même temps, comme on n’a pas vu/lu leur échange, le souci ne vient peut-être pas forcément d’elle. Affaire à suivre… ou pas.
Shôko nous dévoile sa collection toute particulière, ce qui ne plaît pas à tous.
Les frangins de Luo continuent à traîner dans les parages.
Un nouveau personnage fait son apparition… enfin, si je puis dire. Je pense que vu comme elle se comporte, j’aurais presque préféré qu’elle reste invisible.
Enfin, on termine ce manga sur un cliffhanger de fou : la classe Z peut, le soir d’Halloween, se rendre dans le monde des hommes et pas besoin d’être devin pour savoir que ça va forcément mal tourné… mais pour en connaître le dénouement, il faudra lire le prochain.

Ce n’est pas une lecture génialissime, mais ça se lit super bien. J’ai passé un excellent moment, je n’ai pas vu les pages défiler, je me suis attardée sur les dessins qui me plaisent toujours autant. Mon seul bémol est que je ne parviens pas à m’attacher aux personnages. Pour ça, il manque quelque chose, mais j’ignore quoi.
J’ai beaucoup aimé cette lecture et il faudra que je m’achète le suivant puisque je crois que j’avais décidé d’arrêter après ma lecture du tome 2… décision précipitée.

La mélodie infernale de la corne de chasse
(Monstre / Créature / Wyverne / Expédition / Aventure)

La fleur millénaire, tome 05 – Kaneyoshi Izumi

Titre : La fleur millénaire, tome 05
Auteur : Kaneyoshi Izumi
Éditeur : Kazé
Nombre de pages : 190
Quatrième de couverture : Son échec à sauver son bien-aimé mentor plonge Aki dans le désarroi le plus total. Face à la souffrance de sa maîtresse, Hakusei infiltre l’endroit où les émissaires du pays de  le retiennent prisonnier. S’en suit alors une conversation à cœur ouvert entre l’élève et le maître où, pour conclure, Seitetsu lui conseille de rester aux côtés de la princesse pour la protéger dans la lutte féroce qui l’attend pour accéder au trône. Pendant ce temps, la redoutable reine de Do poursuit ses manigances à l’insu du roi…

Je ne sais pas trop quoi dire de ce cinquième tome… il est dans la droite lignée du quatrième.
Aki avait monté tout un plan pour libérer Seiitetsu prisonnier du pays de Â. Ça n’a malheureusement pas fonctionné comme prévu, pourtant ça promettait.
Donc une partie de ce tome est tourné vers le thème de l’adieu au mentor d’Aki et Hakusei, le chagrin de la princesse, la jalousie de l’esclave.
Bref, ça n’avançait que peu… jusqu’au moment où apparaît un nouveau personnage : Jahal le marchand. Je pense qu’il devrait relancer un peu l’intrigue, ce qui est un bon point.
Un second détail intéressant : les plans du roi de  sont dévoilés, dommage que la reine ait anticipé sa stratégie.

Bon, je n’ai malheureusement rien a dire sur ce manga, donc je vais blablater.
Le récit est plutôt plat et pas très intéressant.
Les dessins sont toujours aussi inégaux, souvent les illustrations s’améliorent au fil des tomes d’une saga manga, pas là.
Voilà, j’ai fait le tour, ce cinquième tome m’a laissée indifférente. Je suis un peu déçue par cette saga. Autant le premier tome promettait de belles lectures, autant la suite n’est pas à la hauteur. Je ne pense pas que je lirai les prochains.

Les fées, le Roi-Dragon et moi (en chat), tome 4 – Aki (JP) & Kureha

Titre : Les fées, le Roi-Dragon et moi (en chat), tome 4
Mangaka : Aki (JP)
Scénario original : Kureha
Éditeur : Nobi nobi !
Nombre de pages : 160
Quatrième de couverture : Voici que je suis maintenant témoin d’une guerre… J’aimerais tellement que le conflit cesse et que tout le monde en revienne sain et sauf ! Mais cela est-il vraiment possible ? Je me sens impuissante ! La nouvelle est tombée : Nadasha a fait partir ses troupes pour attaquer le Royaume des dragons. Les deux pays sont officiellement en guerre. Bien que le peuple des dragons ne semble pas alarmé par cette invasion, bien au contraire, Ruri est inquiète car elle apprend par Joshua qu’Asahi s’est jointe à l’armée pour sauver son amie. Craignant qu’un malheur n’arrive à la jeune fille, Ruri décide donc de se rendre également sur le champ de bataille. Mais les humains ont peut-être une stratégie spéciale pour affronter leurs ennemis…

Je ne sais pas trop par où commencer…
Je suis plutôt surprise par cette lecture. Je pensais que le tome 4 serait consacré en majeure partie à la guerre contre le royaume de Nadasha, mais c’est torché très vite et y a beaucoup de blabla, ce qui en temps normal ne me dérange pas surtout si ça apporte quelque chose au récit. Malheureusement ce n’est pas le cas et je me suis ennuyée.

Les événements s’enchaînent lentement et il ne se passe finalement pas grand-chose :
– la guerre contre Nadasha est terminée, Asahi et ses troupes ont perdu
– les pierres anti-magie sont découvertes
– la grande-prêtresse et ses acolytes sont prisonniers et jugés
– Ruri s’explique (encore) avec Asahi et pour la première fois avec les camarades qui la harcelaient
– Kotarô apparaît sous une autre forme.

Il y a quelques points positifs : le résumé du début permet de replacer l’histoire, les dessins sont toujours aussi beaux.
Par contre, les points négatifs m’ont davantage marquée. Cette fois, les personnages m’ont laissée indifférente, d’ailleurs j’ai eu du mal à me remémorer qui était qui. Le récit n’avance pas et j’ai trouvé cette lecture longue.

Je suis un peu déçue. J’avais adoré les premier, mais celui-là est beaucoup moins bien. C’est décevant.
Le prochain tome n’est pas encore sorti, mais à la fin, la mangaka laisse entendre qu’un nouveau personnage important va faire son apparition, ça me laisse dubitative et ça attise ma curiosité.

Agent of my Heart !, tome 1 – Maki Enjoji

Titre : Agent of my Heart !, tome 1
Auteur : Maki Enjoji
Éditeur : Kazé
Nombre de pages : 168
Quatrième de couverture : Autrefois persécutée à l’école, Chitose Saejima s’est aujourd’hui transformée en une femme forte, effrayante et autoritaire. Et de l’autorité, il va lui en falloir pour assurer sa nouvelle mission !
Manager dans une agence artistique, elle est subitement chargée de s’occuper de la super star du moment : Sena Fujishiro. Mais si les talents d’acteur de ce dernier sont indiscutables, sa tendance à draguer et mentir compulsivement va donner du fil à retordre à Chitose… D’autant qu’il semblerait que leurs routes se soient déjà croisées !

Je n’attendais pas grand-chose de cette lecture si ce n’est passer un bon moment… et même là, c’était trop demandé.

Chitose est une jeune femme qui a du peps ; elle pratique le self-défense et a subi du harcèlement scolaire. Elle est agent artistique dans une boîte qui s’occupe de comédiens. Elle gère avec brio la carrière d’une actrice, mais se voit contrainte de changer de client pour Sena, un célèbre acteur qui l’a expressément demandée.
Vu comme est racontée le récit, pas besoin d’être devin pour savoir que c’est lui qui l’a harcelée. Et toute l’histoire est aussi prévisible que ça.

J’ai déjà lu des récits courus d’avance, mais ça passait parce que les personnages étaient intéressants, sympathiques ou attachants. Pas là. Ils sont juste insipides et stéréotypés à mort.
Sena est un merveilleux acteur, beau et coureur de jupons. Il est secrètement amoureux de Chitose, raison pour laquelle il la torturait enfant et il continue. Un héros plutôt odieux et sans-gêne.
Chitose est conne. Elle passe pour quelqu’un de forte, brillante, mais ce n’est qu’une façade… tellement mince qu’à la moindre pichenette, elle s’écroule.
Les deux m’ont exaspérée. Leur relation est malsaine et ne fait absolument pas rêver… enfin, pas moi.

Je n’ai pas aimé cette lecture. J’ai le deuxième dans ma Pile à Lire puisque c’était un pack découverte, donc je le lirai… mais quand ?

Poupée de souvenir automatique à votre service
(Épistolaire / Correspondance / Sentiment / Émotion / Amour / Deuil / Gratitude / Guérison)

Perfect world, tome 03 – Rie Aruga

Titre : Perfect world, tome 03
Auteur : Rie Aruga
Éditeur : Akata (M)
Nombre de pages : 164
Quatrième de couverture : Depuis l’accident arrivé à Kawana, un drôle de malaise s’est installé chez Itsuki. Le jeune homme handicapé commence en effet à se demander si, à cause de son état, il ne risque pas d’être un fardeau pour la femme qu’il aime. Et comme si ses doutes intérieurs ne suffisaient pas, de nombreuses pressions extérieures mettent en danger sa naissante relation de couple…

Un troisième tome moins chiant que le précédent.
Surtout dû au fait que Tsugumi se rend compte qu’elle est un boulet et commence à prendre du recul face à la situation, mais pour cela, il a quand même fallu qu’elle s’épuise au point de s’évanouir et tomber sur les rails du train. Finalement, elle a eu de la chance : elle n’a qu’une jambe cassée.
C’est l’occasion pour l’entourage de la jeune femme de s’opposer à cette relation et j’ai trouvé que c’était quand même sacrément violent.

Face à cette épreuve, la relation entre Tsugumi et Ayukawa est de nouveau plus sympathique… pas pour longtemps, mais ce n’est pas aussi lourd que dans le tome précédent. La situation de notre héros étant précaire, ça ne dure pas et la réalité se rappelle à eux deux. Un difficile retour à la réalité dû aux problèmes de santé d’Ayukawa qui se cumulent.
Tsugumi est un peu moins pleurnicheuse, elle reprend doucement les choses en main pour aider au mieux son amoureux et après un faux pas, la décision qu’elle prend est intelligente.

Franchement, je n’ai rien d’autre à dire. Ce n’est pas une lecture qui m’inspire particulièrement. J’ai bien aimé ce troisième tome et il ne me reste plus que le quatre dans ma pile à lire… par la suite, il faudra que je vois comment faire pour continuer cette saga que je n’aime pas assez pour me les acheter – je risque de passer par la médiathèque.

We’ll always find a way
(Cristaux / Facettes / Singularité / Diversité / Inclusivité / Feel Good)