Titre : Qui dit coeur brisé dit mojitos à volonté
Auteur : Laure Allard-d’Adesky
Éditeur : Harlequin
Nombre de pages : .311
Quatrième de couverture : Si mon prince ne vient pas, c’est moi qui irai le chercher !
Un pacte anti-cons. Voilà ce que Louise vient de signer avec ses deux meilleures amies. Parce qu’il y en a marre de tomber amoureuse du mec canon qui vous laisse en plan à la première occasion – ou, pire, qui décide au bout de quelques mois de retourner avec son ex. Terminées les relations foireuses et les soirées passées sur le canapé à noyer son chagrin dans un mojito ! À partir de maintenant, Louise évitera soigneusement tous les hommes susceptibles de lui briser le cœur. Et pour ça, elle a un plan génial : donner une chance à ceux qui, à première vue, ne correspondent pas à ses critères.
Un grand merci à l’auteure, Laure Allard-d’Adesky, ainsi qu’aux éditions Harlequin pour ce service presse. Ce fut une belle découverte.
Louise, Emma et Clémence sont trois amies proches et célibataires qui en ont marre de tomber sur des gros nuls (j’utiliserai volontiers d’autres termes, mais restons polie). Lors d’une soirée, après avoir listé le type d’hommes à éviter, elles décident de se tourner vers des gars à qui elles n’auraient habituellement pas adressé le moindre regard.
J’avoue que j’ai applaudi ce choix et la surprise est de taille quant à leurs rencontres. Si Timéo ne me plaisait pas du tout, j’ai beaucoup aimé Grégory et les hommes qui gravitent autour de Louise que ce soit son frère, Tristan, ou le coloc de ce dernier, Samuel.
C’est un roman passionnant qui se divise en deux parties :
– la première couvre le pacte anti-cons, les différentes rencontres que font les trois amies et ses conséquences
– la seconde retrace l’après… parce que même quand on a trouvé le grand amour, rien n’est joué.
J’ai beaucoup aimé la première moitié de cette histoire, elle m’a fait rire, et j’ai passé un très bon moment en compagnie de Louise. Par contre, j’ai adoré la deuxième que j’ai trouvée plus intéressante, plus aboutie, plus apaisante et plus dépaysante aussi – peut-être est-ce le voyage à Londres puis au Japon qui m’ont donné cette sensation. Je n’ai qu’un regret : qu’Akeno ne soit pas plus présent, j’ai eu un gros coup de cœur pour ce personnage atypique.
Comme souvent dans ses romans, Laure Allard-d’Adesky sait rendre ses héroïnes attachantes. Louise est gentille, touchante et j’apprécie sa façon d’être avec ses proches ou même avec ceux qu’elle rencontre. Emma m’a mis la pêche et m’a souvent fait rire : elle n’y va pas par quatre chemin, elle est franche et entière. Clémence est plus douce et plus réservée, mais elle est si bien dépeinte que je n’ai eu aucun mal à m’identifier à elle.
J’ai surtout parlé d’elles trois parce que ce sont les héroïnes, mais bon nombre d’autres sont tout aussi fascinants.
Vous l’aurez compris, c’est une lecture que j’ai adorée. Le temps m’a manqué pour avancer comme je le souhaitais, mais il était toujours très difficile de devoir m’interrompre… que ce soit pour travailler, manger ou même dormir.
Challenge Coupe des 4 maisons :
Haleine pimentée (2ème année) – Un livre qui vous a tenu en haleine – 20 points