Titre : Eternal Sabbath, tome 2
Saga : ES
Auteur : Fuyumi Soryo
Éditeur : Glénat
Nombre de pages : 227
Quatrième de couverture : Le professeur Kujo, apprend enfin la vérité sur les origines d’Isaac, de la bouche même de l’un de ses créateurs, le professeur Sakaki. En découvrant les horreurs dont il est capable, elle accepte donc d’aider celui-ci et se met elle aussi à sa recherche. Rapidement la jeune femme découvre sous qu’elle identité celui évolue, et informe Shuro de son intention de l’arrêter…
Le premier tome s’est terminé au milieu de l’explication de Sakaki au sujet des pouvoirs de Shuro et la révélation de l’existence du dangereux psychopathe Isaac. Ces deux personnages étant le produit d’expériences scientifiques et ayant le même genre de pouvoir, seules différences : leur éducation et l’avenir que les chercheurs avaient prévu pour eux.
Sakaki prévoit d’éliminer Isaac et réussit à convaincre Mine de s’associer à lui
Shuro, quant à lui, refuse de s’impliquer.
On entre un peu plus dans le vif du sujet et une fois le passé des deux cobayes mis en avant, la première confrontation a lieu et ça ne tourne pas en faveur de nos héros. En même temps, Sakaki s’est montré stupide sur ce coup-là. Il pensait pouvoir manipuler la petite Yuri pour atteindre Isaac, mais cela se retourne contre lui. J’en suis d’ailleurs à me demander si la gamine n’est pas aussi machiavélique que le jeune Isaac.
J’aime bien les personnages, j’apprécie le duo Shuro-Mine même si le tournant que va prendre leur relation est évident.
L’histoire me plaît bien, elle a un côté sombre dont je suis fan. On devine une certaine profondeur dans les motivations des protagonistes et certains détails me font penser que tout n’est pas aussi blanc ou noir que l’auteur veut nous le faire croire.
Les dessins continuent de me perturber, je trouve toujours que leur style contraste avec l’ambiance générale du récit. Je ne parviens pas à savoir si c’est déroutant ou plaisant. Peut-être les deux à la fois.
J’ai bien aimé ce second tome et je pense lire le 3 ce week-end (je vais en profiter, j’ai un week-end de quatre jours).