Titre : Je veux manger ton pancréas
Réalisateur : Shin’ichirô Ushijima
Durée : 1h48
Genre : Drame
Synopsis : Sakura est une lycéenne populaire et pleine de vie. Tout l’opposé d’un de ses camarades solitaires qui, tombant par mégarde sur son journal intime, découvre qu’elle n’a plus que quelques mois à vivre… Unis par ce secret, ils se rapprochent et s’apprivoisent. Sakura lui fait alors une proposition : vivre ensemble toute une vie en accéléré, le temps d’un printemps.
J’ai entendu beaucoup de bien de ce film d’animation, comme quoi il était aussi bien que Your Name ou the silent voice. J’ai un peu moins aimé, mais il est tout aussi triste.
Avec un titre comme « je veux manger ton pancréas« , on pourrait s’attendre à un scénario fantastique ou un peu gore, mais pas du tout.
Sakura a une maladie du pancréas qui la condamne à une mort certaine. À part sa famille, personne dans son entourage n’est au courant. Pourtant, l’un de ses camarades de classe l’apprend fortuitement, un garçon solitaire. Sakura se lie d’amitié avec lui.
Les personnages sont attachants :
Haruki se montre franc avec sa nouvelle amie… un peu trop d’ailleurs, c’était aussi choquant que drôle.
Sakura est sacrément collante avec le jeune homme. Et je ne sais pas si je trouve ça touchant parce que c’est le seul qui est assez détaché pour être naturel avec elle ; ou si c’était juste horrible : après tout, il n’a rien demandé, il est bien seul et là, il va s’attacher à une mourante ?
Sachant ça, ça rend leur relation d’autant plus émouvante et tous leurs échanges plus dramatiques.
Par contre la fin nous a laissés sur le cul. On ne s’attendait pas du tout à ça… non seulement ça nous a choqués, mais c’était frustrant parce qu’on ignore qui est responsable de cet événement troublant.
Faudra peut-être que je lise le roman ou le manga pour découvrir le fin mot de l’histoire.
J’ai aimé ce film d’animation : il était touchant, et il était beau… même si j’ai eu du mal lors de la lecture du journal : un peu trop onirique paradisiaque pour moi.
Automne douceur de vivre
Il n’y a jamais trop d’épices dans ma pumpkin pie ! (nourriture, plaisir non coupable)