Titre : Netsuzou Trap : NTR, tome 4
Auteur : Naoko Kodama
Éditeur : Taifu comics (Yuri)
Nombre de pages : 149
Quatrième de couverture : Alors que Yuma n’arrive toujours pas à se départir de sentiments qu’elle ne comprends pas. Takeda la surprend en train d’embrasser Hotaru à l’embrasser du lycée. Yuma culpabilise de devoir mentir une nouvelle fois à son ancien petit ami, mais elle n’arrive toujours pas à dire non à Hotaru. De son côté, le regard que pose Fujiwara sur les deux filles est glacial…
Yuma, en proie au doute.
Hotaru, cachant ses sentiments derrière son sourire.
Takeda, commençant à suspecter quelque chose.
Fujiwara, préparant un mauvais coup.
J’ai été agréablement surprise par ce quatrième tome. Je ne m’attendais pas à passer un aussi bon moment, pourtant il ne se passe pas grand-chose, mais c’était rafraîchissant.
Yuma commence à accepter ses sentiments pour Hotaru, même si elle refuse de les avouer à la concernée.
Leur relation d’amitié finit par en pâtir, mais pas avant qu’elles ne partent en vacances, au bord de la mer, avec Takeda et Fujiwara. Ce moment de détente s’étend sur une bonne partie de ce manga. C’était plaisant : les personnages ne sont pas sous pression, et ils semblent presque proches.
J’apprécie toujours autant Takeda. Il est tellement gentil et attentionné avec Yuma… je comprends que cette dernière n’a pas l’étincelle et ne craque pas pour lui, ça arrive, il n’est rien d’autre qu’un bon pote finalement. Par contre, j’ai plus de mal à accepter son choix amoureux : je ne vois vraiment pas ce qu’elle trouve à Hotaru. Ok, elle est jolie, elle la connaît depuis des années et toutes deux sont amies, mais je trouve qu’Hotaru est égoïste, égocentrique, et aussi antipathique que sans cœur… en fait, elle manque d’empathie et je n’arrive pas à m’y attacher.
Il y a plusieurs points positifs :
– on en apprend davantage sur la relation qui lie Fujiwara et Hotaru.
– ça avait un air de vacances, l’ambiance était détendue.
– c’était une lecture agréable et pas prise de tête.
J’ai adoré ce quatrième manga, c’était ce dont j’avais besoin et ça m’a fait du bien.