Titre: Black Butler 4
Auteur: Yana Toboso
Éditeur: Kana
Collection: Black Kana
Nombre de pages: 192
Quatrième de couverture: À Londres, Ciel Phantomhive et son fidèle majordome, Sebastian, enquêtent sur une affaire qui défraie la chronique et éclabousse la royauté: des bourgeois et des nobles revenant des Indes sont agressés les uns après les autres. En pleine mission, Ciel et Sebastian rencontrent un jeune Indien, Soma Asman Kadâr, qui affirme être de sang royal… Une rivalité en gants blancs va naître entre Sébastian et l’irréprochable majordome au service du prince !
Ça faisait quelques temps que je n’avais pas lu de manga, mais aujourd’hui, l’envie m’a prise. J’ai beaucoup aimé ce quatrième tome des aventures de Sebastian et de Ciel. J’ai trouvé ce tome drôle sans forcément être grotesque comme certaines scènes de précédents volumes. L’humour était parfaitement dosé lorsqu’il y en avait ; quant aux moments un peu plus sombres, même s’ils n’étaient pas assez nombreux à mon goût, ils arrivaient à brûle-pourpoint pour empêcher certaines scènes de tourner à l’excessivement ridicule. Et j’avoue que rien que pour voir les trois abrutis de domestiques réussir à faire quelque chose avec l’aide d’un autre que Sebastian, ça valait le coup de le lire ce quatrième volet. C’est sûrement la partie qui m’a le plus amusé.. quel cuisant échec pour notre Black Butler ! :p
Au niveau de l’histoire, on en apprend plus sur Ciel et sur les raisons qui l’ont poussé à invoqué son majordome, ce qui est appréciable, je pensais qu’on resterait bloqué pendant de très nombreux volumes mais ça se dévoile progressivement.
Les dessins sont toujours aussi beaux, j’aime particulièrement les détails de certaines étoffes comme déjà évoqué lors de la chronique du tome 2. L’ambiance est un peu moins sombre que dans le précédent, mais j’ai bien aimé cette plongée dans une culture et une religion différente, même si ça reste superficiel, ça transforme agréablement l’atmosphère.
Bref, j’ai vraiment bien aimé ce volume et j’ai hâte de lire le prochain pour avoir le fin mot de l’histoire de Soma et Aghni.