J’ai commencé et fini ce livre il y a un bon moment, mais je tenais quand même à faire un court article sur mes impressions. J’ai débuté cette œuvre peu avant Nouvel An et l’ai terminé lors de mon hospitalisation. J’en ai surtout et principalement retenu que 90% du personnel hospitalier qui s’occupait de moi l’avait lu et bien apprécié, ce qui, je ne sais trop pourquoi, m’a vite saoulé! Mais à part ça, soyons honnête, le bouquin m’a relativement bien plût, surtout le début et le milieu. J’estime que la fin gâche malheureusement l’histoire: ça avait un côté vachement superproduction américaine, je voyais d’ici les effets spéciaux (à se demander d’ailleurs si le livre n’avait pas été fait uniquement dans cette optique), c’était limite du on-tire-à-vue-dans-un-pays-qui-n’est-pas-le-nôtre-sans-être-inquiété-et-sans-qu’il-n’y-ait-de-conséquences. Bref, vraiment dommage. Sinon, les personnages, comme d’habitude, relativement attachants, avec un côté parfois ils saoulent, mais ça ne me dérange pas outre-mesure. De plus, l’histoire sentimentale: prévisible; policière: pas très convaincant, mais pourquoi pas; coïncidence: gros mais tellement qu’on y croit. Au final, un bilan très mitigé quand même: pas trop mal, mais la fin gâche définitivement tout.
Résumé: New York. Aéroport Kennedy.
Dans la salle d’embarquement bondée, un homme et une femme se télescopent. Dispute anodine, et chacun reprend sa route.
Madeline et Jonathan ne s’étaient jamais rencontrés, ils n’auraient jamais dû se revoir. Mais en ramassant leurs affaires, ils ont échangé leurs téléphones portables. Lorsqu’ils s’aperçoivent de leur méprise, ils sont séparés par 10 000 kilomètres : elle est fleuriste à Paris, il tient un restaurant à San Francisco.
Cédant à la curiosité, chacun explore le contenu du téléphone de l’autre. Une double indiscrétion et une révélation : leurs vies sont liées par un secret qu’ils pensaient enterré à jamais…