Et voilà, ça devait bien arriver. A force de faire trop de choses, je n’ai pas pris le temps d’écrire d’article ce week-end. J’aurai pu hier soir (ainsi, je n’aurai sauté qu’un jour et ça serait presque passer inaperçu), mais j’avoue qu’après le week-end de fou que je venais de passer, je n’avais pas envie. D’ailleurs, en ce moment, je n’ai envie de rien… ou presque. Je me sens en grande partie vide, horriblement vide: chaque fois que je dois sortir de ma léthargie cela me demande une force et une volonté qui m’épuise encore davantage et me donne envie de rentrer dans ma coquille. Et une autre partie de moi brûle de faire des choses que j’aime: lire -j’arrive au bout de mon bouquin, même si j’avance tout doucement, et ça me frustre, ce ne sont pas les 10 à 20 minutes de lecture que je prends tous les soirs qui me permettent vraiment d’avancer-, écrire -j’aimerai continuer les modifications et corrections sur le livre que j’ai écris-, dormir -mais je soupçonne une légère déprime d’être cause de cette dernière envie…
Mais je ne vais pas m’appesantir sur mes envies et non-envies, je vais prendre le taureau par les cornes, sortir en ville retrouver ma Barbouille, Haurus, Aizen et sa chérie qui sont tous deux sur Strasbourg. Je vais continuer à courir à droite à gauche pour ne penser à rien et continuer à faire bonne figure. Et en fin de semaine, on sera tous en vacances, on va pouvoir buller, se reposer et préparer nos estomacs avant plusieurs jours de fêtes ^^
Postscriptum: Bon, ben changement de programme, je ne sors pas, ils sont trop loin et comme j’ai mon fils à chercher bientôt, ce sera trop juste. Donc on va rester sous la couette, laisser en arrière fond un des films complètement mièvre de Noël et lire 😀