Titre: Le rêve de Jo March
Auteur: Louisa May Alcott
Éditeur: Casterman
Nombre de pages: 252
Résumé: L’infatigable Jo March a enfin la vie dont elle rêvait.
Sa grande maison – presque aussi grande que son cœur – est toujours ouverte aux enfants défavorisés.
Que d’aventures, que de petits drames, que de situations drôles et cocasses ! Quand une bonne douzaine de jeunes garçons vivent ensemble sous la houlette d’une Jo, on ne risque guère de s’ennuyer !
Dans la série les Quatre Filles du Docteur March, je demande le 3 !
Bon, une fois de plus, c’est une lecture relativement ancienne; 8 ans me sépare toujours de cette lecture. Pourtant contrairement aux autres volumes, j’ai nettement moins de difficulté à me souvenir que je n’ai pas du tout aimé, au point qu’une fois ce livre terminé, je n’ai pas lu le quatrième tome. Par rapport aux autres volumes, je l’ai trouvé peu intéressant. Jo est reléguée au second plan au profit des enfants qui peuplent l’école de Plumfield. Ce n’est qu’une suite de petits récits, j’ai trouvé que le fil conducteur de l’histoire était beaucoup trop ténu et du coup, je ne me suis pas attachée aux jeunes protagonistes. Alors peut-être y avait-il trop de personnage, peut-être l’auteur s’est-elle perdu avec tous ces enfants? Je ne saurai dire, en tout cas, il manquait ce petit quelque chose qui ont fait des deux premiers volumes des grands classiques.
Il y a, en tout et pour tout, 21 chapitres, et je n’en ai aimé que 3:
- Les myrtilles: les enfants de Plumfield partent à la cueillette des myrtilles. Nan et Rob finissent par trop s’éloigner du groupe et se perdent.
- John Brooke: Tante Jo réveille dans la nuit Demi et Daisy, son neveu et sa nièce, afin qu’ils se rendent auprès de leur père très malade.
- Autour du feu: différentes petites histoires racontées par bon nombre des habitants de Plumfield.
Et autant dire que 3 chapitres, ce n’était pas suffisant pour remonter le niveau. C’est vraiment dommage parce que je trouve l’auteure très douée pour mettre ses personnages dans des situations délicates, tristes et douloureuses, je l’ai trouvé beaucoup moins douée pour nous placer aux côtés d’enfants insouciants.
Maintenant que 8 ans ont passés, je pourrai enfin, et sans appréhension, lire le quatrième volet dès que l’occasion s’en présentera: La grande famille de Jo March, ainsi, je pourrai clore définitivement cette série.