Candy Candy, tome 8 – Yumiko Igarashi et Kyoko Mizuki

Titre: Candy Candy, tome 8
Scénario: Yumiko Igarashi
Dessin: Kyoko Mizuki
Éditeur: Kodansha France
Nombre de pages: 205
Quatrième de couverture: Les aventures, les drames et les amours de Candy Neige, jeune orpheline américaine au debut du XXeme siecle, de sa naissance à l’age adulte. Elevée dans la maison de Pony où elle passe son enfance en compagnie de son amie Annie, Candy a un tempérament trop prononcé et ne parvient pas à trouver une famille d’accueil. Tous ses amis la quitte peu à peu, mais lors de son 12eme anniversaire, elle est choisie pour devenir demoiselle de compagnie auprés des enfants de la famille Legrand, Elisa et Daniel, bien décidés à lui en faire voire de toute les couleurs. Candy va vivre un véritable enfer avec pour seul réconfort l’amour qu’elle porte pour leur cousin, Anthony, et celui pour le petit prince de la colline de son enfance…

A la fin du tome précédent, Candy répond à l’invitation de Terry et se rend à Broadway pour le voir jouer dans Roméo et Juliette, rôle qui leur tient particulièrement à cœur puisque l’année précédente, Candy portait le déguisement de Juliette lors du bal de mai organisé par le pensionnat de Londres où nos deux héros ont séjourné.
Une fois à New York, les choses ne se passent pas comme prévu. Le jeune homme vient chercher sa belle à la gare et ils passent une journée agréable ensemble mais le soir, Candy apprend que Susana, l’actrice qui aurait dû jouer le rôle principal dans la pièce, a perdu une jambe en sauvant la vie de Terry. Bon, je passe les détails, y en a eu assez jusqu’à présent, mais en gros, le couple rompt et le jeune homme, se sentant débiteur, décide de rester auprès de l’infirme.
Donc au début de ce tome, Candy rentre par le train de nuit, elle est fiévreuse et finit par s’évanouir dans le train. Là, elle est identifiée comme une des filles André, Archibald est contacté et vient la chercher. C’est alors qu’elle apprend qu’Alistair est parti pour la France sans rien dire et s’est engagé dans l’armée.
Une chose étonnante s’est produite : Daniel, que Candy a sauvé de voyous dans le tome précédent, s’est soudain mis en tête qu’il était amoureux de la jeune orpheline – autant dire que c’est à mille lieue d’être réciproque.

Je me souvenais relativement bien de cette partie. C’était plaisant à lire. J’ai bien aimé, nettement moins que le précédent pour une raison toute simple : on voit beaucoup moins les autres et y a une vraie coupure entre le groupe Archi-Annie-Patty et Monsieur Albert-Candy, alors qu’ils étaient soudés dans le sept. On voit davantage Elisa qui n’a pas grandi et pas évolué d’un pet, qui se pourrit toute seule à essayer de faire de celle de Candy un enfer. Daniel est aussi plus présent avec son délire amoureux, mais comme il est vicieux, c’est loin d’être drôle et étant donné donné qu’il est stupide, il est incapable de comprendre la raison qui pousse notre héroïne à le détester si fort.
On découvre également un personnage tertiaire : le docteur Martin, un médecin alcoolique qui a pris soin de monsieur Albert quand ce dernier s’est fait renversé dans les premières pages.
Côté événement, pas beaucoup de nouveautés, toujours les mêmes astuces et Candy s’en prend toujours plein la tronche, c’en est presque lassant.
J’ai pourtant hâte de lire le neuvième et dernier tome et je compte bien le lire aujourd’hui.

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