Titre: L’orphelin égaré
Saga: Zoélie l’allumette, tome 3
Auteur: Marie Potvin
Éditeur: Kennes
Nombre de pages: 343
Quatrième de couverture: Ma vie est pire qu’un conte de fées tordu! Baptiste est-il encore vilain? Je n’en suis plus si sûre… Même s’il ne m’appelle plus l’allumette, Cléo n’a pas confiance! Baptiste réussira-t-il à prouver qu’il est notre ami? D’abord il faudra tester sa sincérité et, une fois cela fait, il faudra lui demander l’impossible, car le plus grand rêve de Cléo ne pourra pas se réaliser si nous ne prenons pas un énorme risque… Mais pour Cléo, je suis prête à tout!
Ça fait presque deux ans qu’on a lu le second tome, du coup, j’ai eu un peu de mal à me replonger dans l’histoire, surtout qu’il n’y a pas de résumé pour nous remémorer les points importants, c’est d’ailleurs dommage. Si je n’ai pas eu des masses de difficultés pour savoir qui était Zoélie ou Cléo, il m’a fallu un peu plus de temps pour remettre Baptiste ainsi qu’Ange – comme pour le second tome de Zoélie, pas moyen de me souvenir plus que ça de ce personnage – et ne parlons pas de Malvina que j’ai totalement zappé.
Dans ce tome, Baptiste semble avoir totalement changé et je ne me souviens plus comment. Bref, Zoélie, Cléo et lui s’interrogent sur la présence d’une chauve-souris pour le moins étrange et les deux protagonistes tentent de savoir ce que l’ancienne petite frappe sait de Malvina et de la façon dont elle a été invoquée. Notre héroïne et son ami fantôme sont bien décidé à se débarrasser du chiroptère malfaisant. Pour mener leur mission à bien, ils reçoivent les conseils d’Ange. Pour le moment, elle ne propose pas vraiment de solution, mais elle a peut-être le moyen de faire revenir Cléo à la vie et ce troisième volume est davantage tourné vers cette quête.
Les personnages sont aussi attachants que dans les précédents, j’ai bien apprécié Baptiste alors que ce n’était pas le cas auparavant. Les liens entre Zoélie et Cléo se resserrent, au point qu’ils parviennent presque à se parler par télépathie… c’est le presque qui fait toute la différence.
Chaque fois que je commence un Zoélie l’allumette, je m’étonne toujours de la taille de la police ; j’ai beau savoir que cela permet aux enfants de lire plus facilement, cela me surprend encore et me choque même un peu.
Ma fille a pris beaucoup de plaisir à le lire. Quant à moi, j’ai adoré découvrir le récit que l’auteure nous a concocté et j’avoue qu’après le final servi, j’ai particulièrement hâte de lire le prochain.