Titre : Une vie au zoo, tome 4
Auteur : Saku Yamaura
Éditeur : Nobi nobi ! (Shôjo kids)
Nombre de pages : 190
Quatrième de couverture : Confrontée au transfert délicat d’une lionne et aux facéties d’un perroquet indiscret, Haruko poursuit son apprentissage et gagne en assurance à chaque nouveau défi. La jeune recrue est pourtant loin de faire l’unanimité au sein de l »équipe des soigneurs, certains accusant le directeur de faire preuve de favoritisme à son égard. Mais tandis que les querelles internes s’enveniment, une mauvaise nouvelle vient remettre en question l’avenir du zoo lui-même. Que deviendront les animaux si l’établissement ferme ses portes ?
J’avais hâte de découvrir ce quatrième tome parce que c’est le dernier de cette série manga.
Dans le précédent, Miyamoto était chargée du projet d’accueil de Ren la tigresse et le moins qu’on puisse dire, c’est que ça ne se passait pas bien avec la collègue de l’autre zoo. C’est un gros truc, je pensais que cela prendrait au moins la moitié du tome… et non, c’est plié assez vite : le plus gros problème rencontré est le transport et après, on n’entend plus parler du félin. C’est dommage.
Et on repart sur des petits chapitres qui mettent en scène des animaux (perroquet, lémuriens) ; par contre, il y a une différence notable par rapport aux trois premiers tomes, enfin il me semble : ce sont des prétextes pour mettre en avant des problèmes plus humains que ce soient parmi les visiteurs ou parmi le personnel du parc zoologique Hidamari.
Le zoo rencontre toujours de grosses difficultés et cela empire quand les investisseurs retirent leurs billes, donc il est temps de s’unir pour affronter cette nouvelle épreuve.
J’ai un peu moins aimé que les précédents : une scène m’a émue aux larmes, celle avec Kyo, mais le reste m’a laissée indifférente. Les relations humaines sont assez froides dans ce tome-ci, sûrement parce que la discorde gronde, ce qui n’a pas dû aider, mais même les réconciliations sont d’une triste platitude.
Les dessins sont sympathiques, même si l’apparence des animaux m’a semblé un peu moins soignée. Je me suis moins attardée sur les illustrations.
Je n’ai rien d’autre à en dire, ça s’est laissé lire sans plus.