Titre : Black Butler, tome 15
Auteur : Yana Toboso
Éditeur : Kana (Dark)
Nombre de pages : 176
Quatrième de couverture : Afin de résoudre une nouvelle affaire, Ciel s’est inscrit, en tant qu’étudiant, à Weston College. Dans cet établissement très huppé, les règles sont stricte et la tradition est absolue. Chaque étudiant s’engage à la respecter. Cependant, Ciel dispose d’un allié de taille dans la place : Sebastian joue le rôle d’un professeur. Le majordome s’est ainsi transformé en maître… et le maître en élève…!
Waouh ! Ça fait longtemps que je n’avais pas autant aimé un tome de Black Butler.
Ciel entre dans une célèbre école privée, le Weston College. Il a été missionné par la reine – jusqu’au dernier chapitre, je ne me souvenais plus la raison de sa présence dans l’établissement. Il doit découvrir ce qui est arrivé à Derek, un membre de la famille royale et étudiant à l’école qui a coupé les ponts avec les siens.
Donc Ciel entre en tant qu’élève, Sebastian est à la fois intendant et professeur. Le chef de la famille Phantomhive fraternise avec un élève de son dortoir, Macmillan – sérieux, quand je l’ai vu, j’ai tout de suite songé à un mélange Harry Potter/Ron Weasley : lunettes rondes, cheveux un peu fous, taches de rousseurs, etc.
D’ailleurs l’ambiance fait penser à Poudlard :
– 4 dortoirs aux 4 couleurs et ayant pour emblème des animaux.
– Une compétition et une rivalité entre élèves.
– Des préfets et leurs fags (des sortes de sous-préfets chargés des corvées de leurs aînés) qui ont des avantages certains. Niveau ambiance, ça m’a aussi beaucoup fait penser à Utena : les préfets élus qui se rejoignent au Belvédère du cygne, un square qui leur sert de QG. C’est pas le seul détail, mais c’est le plus prégnant.
On ne voit pas beaucoup Sebastian et les fois où il est présent, c’est surtout pour jouer les bonniches et faire les corvées à la place de Ciel – je ne sais pas trop si je devais en rire ou en pleurer.
C’était passionnant, j’ai eu beaucoup de mal à interrompre ma lecture et j’ai hâte de lire le prochain parce que j’ai adoré ce quinzième tome qui sort de l’ordinaire.