Voici la seconde partie de mon article sur notre périple à Dallas.
Le jeudi, on a visité Dallas Heritage Old City Park. Un quartier reconstitué de maisons datant de 1850 à 1900, environ. C’était sympa à visiter, mais le gros plus, c’est le tour de la maison Sullivan : la dame nous a raconté l’histoire du patriarche de la famille qui a quitté les siens pour faire fortune à Dallas. Ça faisait très far-west, mais j’ai beaucoup aimé toutes les anecdotes qu’elle a rajoutées au fil de la visite.
Ensuite, on est allé manger un hamburger : le premier pour ma mère.
On a rencontré des français qui étaient un peu perdus. Ils assistaient aux championnats du monde d’escalade auxquels participait leur fille.
Le soir, on a été dans un restaurant style japonais où le cuisinier nous a fait un super show. Non seulement c’était bon, mais le spectacle valait le détour.
Le vendredi, on a été faire du skydiving en salle avec iFly.
On a fait deux passages d’une minute chacun. Le premier était difficile : j’ai eu du mal à trouver mon souffle, mais j’ai réussi à garder la pause et j’ai relativement bien suivi les consignes.
Le second passage était bien mieux. J’ai rapidement trouvé mes marques et le moniteur m’a fait voler dans tous les sens (la chute était dure, mais c’était chouette). J’aurais bien aimé faire un troisième essai, mais mes épaules commençaient à être douloureuses, j’avais peur de me blesser.
Mathias a eu beaucoup de mal : il est grand, donc pas beaucoup d’espace dans le tube et il n’arrivait pas à se relaxer assez pour y prendre plaisir.
Cassandre était stressée à mort. Elle a eu le tort de regarder en bas et le vertige a eu raison d’elle : ses mains étaient crispées à mort.
La suite était bien plus calme : barbecue en famille, visite d’un mall de grandes marques.
Du dimanche soir au lundi soir, il a plu… énormément. Il y a eu de sacrées inondations. Donc on est resté à l’intérieur et on a regardé des films.
Mardi, on est allé à Fort Worth. On s’est baladé dans les rues du Stock Yards, puis on a attendu la traversée des Longhorns menées par les cow-boys.
C’était impressionnant : et c’est là qu’on voit au dandinement de leur tête que les cornes sont terriblement lourdes.
Les derniers jours ont été très zen, on a profité de la famille, on a fait nos dernière emplettes, etc.
J’ai indéniablement préféré Dallas à New-York. C’était une bouffée d’air frais. Même s’il a fait chaud, c’était moins difficile.
C’était également plus relax. Et moins stressant puisque la famille s’occupait de nous.
La séparation fut moins difficile que prévu puisqu’on aura la chance de se revoir dans un mois… et j’ai hâte de les retrouver. Ils me manquent.