Titre : Perfect world, tome 01
Auteur : Rie Aruga
Éditeur : Akata (L)
Nombre de pages : 157
Quatrième de couverture : Tsugumi Kawana est une jeune femme de 26 ans qui travaille dans une boîte de design d’intérieur. Lors d’une soirée d’un client tenant une boîte d’architecte, elle va tomber nez à nez avec son premier amour et confident quand elle était au lycée : Ayukawa. La jeune fille semble très vite retomber sous son charme. Mais lorsque ce dernier décide de partir, elle va alors se rendre compte que quelque chose a changé. En effet, Ayukawa est en fauteuil roulant à présent.
J’avais entendu beaucoup de bien de ce manga et pour une fois, je suis de l’avis des rumeurs, c’était super chouette.
Il est souvent mis en parallèle avec Silent Voice parce qu’il aborde également le thème du handicap.
Kawana travaille pour une entreprise et découvre qu’Ayukawa, son premier amour de lycée (qui était aussi un bon pote) y bosse en tant qu’architecte. Elle ne l’avait pas revu depuis et ignorait donc qu’il était paraplégique suite à un accident pendant ses études. Ils sont contents de se retrouver, passent beaucoup de temps ensemble et réapprennent à se connaître.
J’ai été agréablement surprise par cette lecture. Je m’attendais à un shôjo basique et plein de bons sentiments. Mais finalement, il est loin d’être tout beau, tout rose. Malheureusement, le handicap de Ayukawa a des conséquences terribles : que ce soit le regard des autres très lourds ou la fragile santé du héros.
L’auteur a fait beaucoup de recherches sur les personnes touchées au niveau de la moelle épinière et ça se sent. Ça rend la situation aussi difficile que réaliste.
J’ai aimé les dessins, ils étaient très beaux dans la plus pure tradition shôjo, et j’ai pris plaisir à m’y attarder.
Il commence à se faire tard, je ne vais pas m’attarder. J’ai adoré ce premier tome et je lirai avec plaisir le prochain.