Titre : Toilet-bound Hanako-kun, tome 08
Auteur : Iro Aida
Éditeur : Pika (Shônen)
Nombre de pages : 176
Quatrième de couverture : Depuis son retour de l’enfer des miroirs, Kô a le moral dans les chaussettes… Nene, voulant aider son ami à se changer les idées, décide de l’inviter à la fête des étoiles. Accompagnés d’Hanako, ils se rendent à celle organisée dans le monde des esprits, normalement interdite aux humains. Une rumeur raconte sur cet événement que celui qui parvient à écrire son souhait sur les cinq papiers à voeux de couleur différente puis à les accrocher au grand bambou verra son voeu assurément réalisé ! Une occasion en or pour Nene et Kô ayant chacun des voeux de la plus grande importance à exaucer !
Quel plaisir ça a été de retrouver Hanako, Nene et Kô ! Mais je ne suis pas sûre de pouvoir dire grand chose sur cette lecture.
On est répartis pour de nouvelles aventures : Mitsuba a rejoint l’équipe de Tsukasa. Depuis, Nene a l’impression que Kô déprime. Elle décide de lui remonter le moral : en plus des traditionnelles pâtisseries qu’elle concocte en cours de cuisine, elle l’invite à le fête de l’été. Ce qui rend Hanako terriblement jaloux et triste de ne pouvoir s’y rendre. Il leur propose une alternative : vivre une telle fête au sein de l’école. Bien sûr, rien ne se déroule comme prévu.
Il y a trois récits : celui de la fête de l’été, un complément déjanté avec des zombonbons et le dernier a pour héros Mitsuba – une porte ouverte sur le prochain tome.
L’ambiance est sereine à souhait, avec une touche d’inquiétude en fond au sujet de ce qu’on a appris dans les tomes précédents, mais ce n’est en rien oppressant. Au final, c’est agréable.
Les dessins sont superbes… comme les sept premiers. J’ai pris un plaisir fou à détailler les illustrations, à parcourir du bout des doigts les contours des visages et des corps, à contempler les vêtements des personnages.
Les relations entre nos héros sont toujours aussi touchantes.
Hanako reste, maintenant encore, un enfoiré sur bien des points et par moment il est même glauque – une réflexion que je ne m’étais plus faite depuis un moment, pourtant je l’apprécie énormément.
Nene est toujours aussi mignonne.
Quant à Kô, plus le temps passe, mieux je l’aime.
Bref, c’est un coup de cœur pour ce huitième tome qui était passionnant.