Tsuru, princesse des mers, tome 1 – Hideki Mori

Titre : Tsuru, princesse des mers, tome 1
Auteur : Hideki Mori
Éditeur : Delcourt
Nombre de pages : 220
Quatrième de couverture : Loin des traditions ancestrales, Tsuru n’aspire qu’à découvrir le monde et à ouvrir son peuple au progrès. Libertaire, rebelle, créative et pleine de vie, elle défie les convenances pour réaliser ses rêves et faire évoluer les mentalités. Affrontement nautique, construction de bateau novateur et anéantissement de hordes de rats sauvages sont les premiers faits d’arme d’une princesse peu ordinaire, capable de quitter son peuple pour mieux le servir !

Quand j’ai rangé mes bibliothèques de mangas, j’ai découvert ce titre. Je ne l’avais jamais lu, la couverture fait vieillotte et je me suis demandé ce qui nous avait pris de l’acheter.
Bon, puisqu’on a les trois tomes de la saga, autant la déplacer dans ma pile à lire.
Avant de commencer ma lecture, j’ai regardé d’un peu plus près ce premier tome et j‘ai compris la raison de notre achat : le mangaka est Hideki Mori, l’auteur de Stratège (un manga absolument génial !).
Par contre, autant l’annoncer d’emblée : l’histoire de Tsuru est loin d’être aussi intéressante que celle de Stratège.

C’est une princesse qui vit sur une île. Son père l’a élevée comme un garçon et à sa mort, ce sont les frères de l’héroïne qui dirigent. Elle continue de vivre sa vie comme elle l’entend, ce qui choque les îliens.
Le rêve de Tsuru est de quitter l’île et de parcourir le monde.
Donc on a droit à des tranches de vie sur fond de conflit historique : la guerre des shogunats. C’est une période que je ne connais pas vraiment et malheureusement, ce premier tome ne m’a pas aidé à comprendre. C’est loin d’être abordable et ça a rendu cette lecture un peu laborieuse. J’aurais apprécié qu’il y ait une carte pour visualiser les territoires et mieux comprendre les enjeux de ces rivalités.

Les dessins m’ont beaucoup plu. J’ai pris plaisir à m’attarder sur les planches : détailler les vêtements et des visages, les positions corporelles, les décors. C’était impressionnant. On reconnaît bien le style de Hideki Mori.
Un avis plutôt mitigé pour ce premier tome. Le début m’a laissée indifférente. Ça s’améliore au fil des pages, mais ce n’est pas génialissime. En fait, je l’ai trouvé vide… il manque quelque chose pour que j’accroche, mais j’ignore quoi.

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