Titre : L’hiver maudit
Saga : Arghentur, tome 1
Auteur : Sigrid Renaud
Éditeur : Gallimard jeunesse (Hors-piste)
Nombre de pages : 317
Quatrième de couverture : Par une nuit glacée, une harde de pillards sanguinaires s’abat sur la paisible contrée de Terbalne.
Parmi les rares survivants, Liléia, 14 ans. Sauvée par l’enchanteur Celwyn, elle seule peut encore empêcher le terrible Maître d’Arghentur d’étendre sa domination à toutes les terres du Nord. Mais qui est-il réellement ? D’où tient-il ses terrifiants pouvoirs ? Pour Liléia, l’hiver maudit ne fait que commencer… Aventures, magies, créatures fabuleuses : entrez dans l’univers fantastique de Liléia Erlash.
Ça fait deux jours que je me demande ce que je vais pouvoir dire sur ce roman jeunesse et rien ne me vient, ce qui est surprenant étant donné que j’ai passé un bon moment avec ses personnages.
Liléia est chargée de livrer une lettre dans un village à une demi-journée de la ferme familiale Erlash où elle vit. En rentrant à la nuit tombée, elle est attendue par Celwyn, un ami de son oncle Délian. En la raccompagnant, il évite de justesse la rencontre avec un crocheteux. Mais quelques heures plus tard, après la fête de Hélidh, la ferme est attaquée par le Maître et ses hommes.
J’ai aimé l’histoire en elle-même.
L’ambiance surtout lors de la fête Helidh était tout à fait ce dont j’avais besoin pour prolonger le plaisir des fêtes de fin d’année. La fuite de Liléia, Celwyn et leurs compagnons qui s’ensuit après les festivités était tout aussi palpitante, au même titre que celle de Tomas dans la forêt des Selves.
Je n’ai eu aucun mal à m’attacher à l’héroïne ou à son cousin. Les personnages secondaires sont assez sympathiques et ne m’ont pas déplu. Quant au grand méchant Maître d’Arghentur, il est cruel à souhait. Bref, tout pour me plaire et me mettre les nerfs à vif à chaque fois qu’il apparaît et se fâche.
Malheureusement, je n’ai pas vibré comme j’aurais dû. Au début oui, mais pas après. J’ignore pourquoi… Peut-être est-ce les répétitions qui m’ont freinée (pas répétitions de noms communs, hein, mais de nom propre… C’est désagréable de retrouver le prénom Liléia trois fois en six phrases alors que l’auteure aurait pu l’éviter la majorité du temps).
Même si j’ai aimé l’histoire, je n’ai pas réussi à m’investir émotionnellement et ça m’a laissée indifférente.
Challenge Coupe des 4 maisons :
Boule de neige ensorcelée (Item éphémère du 23 décembre au 5 janvier) – Un livre qui se passe durant l’hiver – 40 points