Titre : Seven Deadly Sins, tome 01
Auteur : Nakaba Suzuki
Éditeur : PIKA
Nombre de pages : 184
Quatrième de couverture : Il y a dix ans, un groupe de mercenaires appelé les Seven Deadly Sins s’est rebellé contre les Chevaliers Sacrés, la garde du royaume… Depuis, ils ont disparu et personne ne sait ce qu’ils sont devenus. Un beau jour, une mystérieuse jeune fille s’écroule dans la taverne de Meliodas, un garçon enjoué qui parcourt le monde en compagnie de son cochon loquace. Cette jeune fille n’est autre que la princesse Elizabeth qui désire ardemment retrouver les Seven Deadly Sins. En effet, ce sont les seuls à même de lutter contre les Chevaliers Sacrés, qui ont fait prisonnier le roi et qui asservissent toute la population du royaume ! Très vite, elle va découvrir que Meliodas n’est pas un simple patron de taverne mais un guerrier à la puissance exceptionnelle…
J’ai entendu beaucoup de bien de cette série, donc quand j’ai vu que cette année le premier tome faisait partie de la sélection des 48h BD, je n’ai pas hésité un seul instant à le prendre.
Les chevaliers Seven Deadly Sins ont disparu depuis dix ans, pourtant, ils sont toujours recherchés en échange d’une récompense. Un chevalier rouillé débarque dans une taverne, persuadé que l’un des membres des Seven Deadly Sins. Sous l’armure se cache Elizabeth, une jeune femme épuisée qui s’effondre peu après être arrivée à destination. L’aubergiste, Meliodas, prend soin d’elle et ensemble, ils joignent leur force pour retrouver le groupe recherché.
Je n’ai pas accroché à ce premier tome. On n’en sait pas assez sur les personnages pour que je m’y soit attachée. Le seul que j’ai adoré, c’est Hawk le cochon : il est trop chou et c’est sûrement le plus malin de tous.
Elizabeth m’a laissé indifférente, quant à Meliodas, il m’a saoulée : il est tout le temps en train de mettre la main au panier de sa nouvelle partenaire et ça me gonfle prodigieusement ce manque de respect pour elle… sans compter qu’il l’affuble d’une tenue plus que riquiqui d’écolière dénudée pour un univers médiéval fantastique, c’est franchement lamentable. Si le manga était sorti y a 20 ans, j’aurais peut-être plus facilement accepté et encore… c’est le genre de conneries que faisait Sangoku dans Dragon Ball et ça passait parce qu’il était gamin et innocent, et la seule raison qui faisait que ça ne m’énervait pas quand c’était Tortue Géniale qui se permettait des gestes de pervers, c’est parce qu’il se prenait un retour de bâton de Bulma ou de Lunch.
Les dessins ne sont pas terribles. Ils sont très inégaux : en ce qui concerne les visages, ça passe et on reconnait sans peine les personnages, mais pour les corps, c’est n’importe quoi – parfois les proportions sont respectées et d’autres fois, ils sont complètement déformés.
En conclusion, c’est un premier tome qui s’est laissé lire… sans plus. J’emprunterai sûrement le prochain à un ami qui m’a proposé de me les prêter, histoire de lui laisser une chance et m’en faire un avis un plus complet sur la suite.