Titre : La mystérieuse disparition
Saga : La boîte à musique, tome 4
Scénario : Carbone
Illustrations : Gijé
Éditeur : Dupuis
Nombre de pages : 56
Quatrième de couverture : Grâce à la visite surprise de Siloé et de ses frères dans l’Hexomonde, Nola a appris beaucoup de choses sur Pandorient et sa maman.
Mais les questions sans réponse se multiplient avec la découverte d’une drôle de clé, que Nola a déjà vue dans le livre d’Annah.
Que peut-elle bien ouvrir ? Pour le savoir, Nola retourne aussitôt à Pandorient.
Mais rapidement, une disparition inquiétante mène Nola, Igor et Andréa dans une enquête, qui risque peut-être de bouleverser la vie de Pandorient…
Jusqu’à mon passage à la médiathèque à la mi-mars, je ne savais même pas que le quatrième tome de la boîte à musique était sorti… pas même qu’il était prévu. Donc ce fut une bonne surprise.
En tout cas, vu la façon dont ça se termine, il y en aura un cinquième.
En rangeant les affaires de sa défunte mère, Nola trouve une clé à tête de mort, de la même taille que celle qui mène à Pandorient, mais qu’ouvre-t-elle ?
Elle décide de le découvrir et pour cela, elle rejoint le monde d’Igor et Andréa. Bon, elle ne s’attendait pas à se laisser détourner de sa mission au profit d’une autre : retrouver la prof de muzénol de Willow qui a disparu.
Du coup, ça prend toute la bande-dessinée pour la retrouver… ce n’est pas particulièrement dérangeant, mais c’est quand même frustrant parce que Nola repart sans réponse à sa question : qu’ouvre la clé ? Le lecteur a un début de réponse dans les dernières vignettes, mais ce n’est pas fou comme piste…
Décidément, j’aime cette saga. Les illustrations sont toujours aussi belles, le côté végétale de la cité de Pandorient est relaxant… je me sens bien quand je parcours les pages de cette bande-dessinée.
Y a de nouveaux personnages… enfin, je crois qu’ils sont nouveaux :
– Willow (pas le souvenir de l’avoir vu dans les tomes précédents) est sympathique et j’aime beaucoup son character design, elle est trop mimi.
– Le voisin de Serena fait une courte apparition, mais je suis fan de son apparence, il m’a fait penser à un yokai.
Par contre, j’étais super contente de retrouver l’Octopodus. Il m’éclate toujours autant avec ses réactions exubérantes.
La morale de cette aventure est chouette : l’amour n’a ni couleur ni race… c’est amené de manière un peu brusque et pas très subtil, mais pour un jeune lecteur, c’est idéal.
J’ai adoré ce quatrième tome et j’ai hâte de découvrir le 5, mais comme il n’est pas encore sorti, il va falloir attendre plusieurs mois (probablement octobre 2021 sa publication est prévue le même mois que les précédents).