Nautiland de Haguenau

Enfin rentrés! Après une après-midi entière passée au Nautiland de Haguenau, on peut enfin se poser deux minutes, jouer une petite heure avant de s’écrouler de fatigue sur le canapé. Canapé qui m’appelle furieusement au passage! Une bonne journée, la matinée a certes été un peu longue avec les enfants qui ne cessaient de demander quand on partait, mais l’après-midi a été bien remplie. Un trajet en voiture rapide et là-bas, plus de deux heures à barboter dans l’eau: on a bien essayé de pousser Mathias à nager, mais le pauvre manque d’une forte motivation, un peu comme pour le vélo l’an dernier, d’ailleurs! Mais malgré cela, avec mon aide et la ceinture, il a quand même pu remonter plusieurs fois la rivière, faire les mini-toboggans et surtout faire le grand toboggan vert, pendant que je l’attendais dans l’eau glacée du bassin d’arrivée. Cassandre est principalement restée dans  le bassin des petits à plonger avec sa bouée Mickey, et je la comprends, l’eau y était super chaude ce qui lui a permis de rester et de pouvoir jouer sans avoir à passer par la phase réchauffement avec la serviette à moitié trempée. De plus, il n’y avait pas beaucoup de monde, avec le temps pourri qu’on avait, c’est presque normal: gris, quelques rares, trop rares, rayons de soleil, et la journée qui s’est finie avec des pluies torrentielles nous contraignant à rouler à 20km/h en ville et pas beaucoup plus sur autoroute. Bref, si l’allée a été rapide, le retour a été très long, avec des enfants à la limite de la somnolence jusqu’à ce qu’on les réveille en chantant (et non, ce n’était pas parce que je chantais faux, non mais! ><“)

Au moins, le point positif est qu’ils n’ont pas eu trop de mal à s’endormir… quoique, on a quand même dû les séparer! ‘Spèces de sales gosses! 😛

Sinon, pour moi, la journée a été, je l’avoue, difficile. J’ai cette perpétuelle douleur dans l’épaule et le bras qui me tire horriblement, me rendant à moitié dingue. J’aimerai hurler, mais ne puis. Alors je sers les dents, je bouge mon épaule comme une conne pour trouver une position ou un mouvement qui me permettrait de soulager cette tension constante, mais rien n’y fait. Alors en attendant, je tente une ou deux évasions par sophrologie, mais là encore, si ce n’est pas la douleur, c’est cette gêne et cette lourdeur au niveau du bras qui me rappelle à l’ordre. Et malgré tout cela, j’essaie de ne rien en montrer, je porte les enfants, je joue avec eux, je vais avec eux à la piscine, et je compte les jours qui me sépare du diagnostic… Allez, plus qu’un petit mois!

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