Public Enemies

Public Enemies.. c’est le film que j’ai choisi de regarder hier soir, sachant pertinemment que je n’aimerai pas, et oh! Surprise! J’ai détesté!
Je n’apprécie habituellement pas les films de gangsters, c’est une époque qui ne me plait pas, un univers qui me déplait fortement, et le fait qu’il soit tourné différemment des autres films du genre, fait que j’ai encore davantage haï ce film. Je n’ai pas du tout accroché avec les filtres utilisés pour le tournage -faussement réalistes, limite à la blairwitch avec des accélérations de daube pour tenter de donner un rythme au film (ben mon coco, c’est loupé, essaie encore!). Le jeu des acteurs… boarf! La performance de Johnny Depp, décevante au possible, surtout les moments où il joue face à Marion Cotillard et ça me donnait une sensation de mimétisme, une incapacité de l’un à jouer correctement face à la fadeur de sa partenaire. Son jeu d’actrice à elle… terne, comme dans tous les films américains dans lesquelles elle a joué: alors, soit les réalisateurs américains ne savent pas la diriger -parce qu’elle n’est quand même pas aussi mauvaise dans les films français – soit, elle choisit très mal ses rôles et ne sait décidément pas interpréter les potiches. J’avoue que je vote pour un peu des deux, et un peu plus pour le second point, au final. Quand je repense à son jeu dans Public Enemies, dans la scène d’interrogatoire ou lorsque son personnage montre un peu de caractère, je trouve qu’elle l’incarne mieux. Quant au rôle de Christian Bale, relativement vide et inintéressant. Il est vrai que je n’apprécie pas plus que ça l’acteur, certes, il joue super bien ses films, mais quelque chose me gêne en lui, et ne saurait dire quoi.
Bref, je ne dirais que c’est une déception, il est ce que j’en attendais. Mais je ne pensais quand même pas m’ennuyer à ce point.
En un mot comme en dix: Nul! Ça résume assez ce que j’en ai pensé!

Synopsis: Basé sur l’histoire vraie de John Dillinger, un braqueur de banque hors pair qui a sévi à de nombreuses reprises dans l’Amérique des années 30. Avancé comme « l’ennemi public numéro 1 » par le patron du FBI, John Edgar Hoover, Dillinger sera traqué sans relache par Melvin Purvis, l’un des agents fédéraux des plus efficaces.

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