Titre: Flying Witch, tome 7
Auteur: Chihiro Ishizuka
Éditeur: Nobi nobi !
Nombre de pages: 192
Quatrième de couverture: Partie en Chine à la recherche d’un élixir capable de soigner son amie Inukai, Akane se retrouve dans une situation pour le moins périlleuse. Heureusement qu’elle peut compter sur son sens de la débrouillardise ! De son côté, Makoto s’essaie également à la concoction d’un remède qui l’amène à découvrir d’étranges créatures. Mais elle devra rester discrète, car une journaliste particulièrement curieuse semble s’intéresser de près aux étranges événements récemment survenus en ville…
C’est le dernier numéro paru en France, je m’attendais à ce que ce soit l’ultime tome, mais il n’en est rien : un huitième est en préparation. En même temps, c’est une série qui peut durer pendant des années, les tranches de vie quotidienne étant nombreuses.
Je l’ai terminé hier soir et depuis, je me demande ce que je vais pouvoir en dire… Il ne s’y passe pas grand chose :
Akane trouve un remède à l’envoûtement d’Inukai, mais cette dernière décide de ne pas l’utiliser… Je vous laisse en découvrir la raison.
On retrouve à nouveau bon nombre de personnages secondaires déjà rencontrés (le livreur de l’été, Anzu, Nao, Akira, etc. ) mais aussi quelques nouveaux (Li, la sœur et le neveu d’Inukai, etc.) et j’ai apprécié cela. Je me sens toujours apaisée quand je lis les scènettes avec tout le monde, comme si je faisais partie de cette famille – c’est assez déroutant comme sensation.
On en apprend davantage sur le monde des sorciers : l’apparition de nouveaux artefacts magiques, la différence entre les sortilèges et la magie, comment le conseil des sorciers parviennent à garder le secret sur leur existence, etc.
C’était intéressant, mais en même temps, ça m’a ennuyée et j’ignore pourquoi.
Les dessins sont à chaque volume plus beaux. J’aime de plus en plus le character design des héroïnes, je les trouve fascinantes au point de perdre du temps à les contempler.
Je crois que j’ai fait le tour. Bref, c’était plaisant à lire, mais sans plus.