Titre : The Promised Neverland, tome 07
Auteurs : Kaiu Shirai & Posuka Demisu
Éditeur : Kazé
Nombre de pages : 192
Quatrième de couverture : Emma, Norman et Ray coulent des jours heureux à l’orphelinat Grace Field House. Entourés de leurs petits frères et soeurs, ils s’épanouissent sous l’attention pleine de tendresse de « Maman », qu’ils considèrent comme leur véritable mère. Mais tout bascule le soir où ils découvrent l’abominable réalité qui se cache derrière la façade de leur vie paisible ! Ils doivent s’échapper, c’est une question de vie ou de mort !
Un septième tome que j’ai trouvé plutôt moyen. Je ne sais pas trop ce qui m’a déplu, je me suis demandée si cela venait de moi : peut-être était-ce le mauvais moment pour le lire ?
Je ne crois pas. Ça fait des jours que je me retiens de continuer cette saga manga, le sixième s’était terminé sur un tel cliffhanger que je mourrais d’envie de découvrir la suite, jugez par vous-même :
Le groupe de Grace Field est arrivé aux coordonnées indiquées par le stylo. Ils pénètrent dans un abri souterrain et sont accueilli par un homme. Est-ce William Minerva ? Si oui, que va-t-il se passer pour eux ? Va-t-il les aider ? Bref, tout était fait pour donner envie au lecteur de poursuivre et c’est ce que j’ai fait.
Attention, petit spoiler !
Dès les premières pages, on découvre que ce n’est pas William Minerva. On en apprend un peu sur lui, mais les informations sont distillées au compte-goutte, ce qui m’a un peu saoulée. On sait aussi rapidement qu’il est un peu fou. Il se montre menaçant, mais il en sait plus que nos héros sur le monde extérieur, ils décident donc de ne pas s’en débarrasser.
Je n’aime pas ce nouveau personnage, j’ai eu envie tout du long de lui coller une balle dans la tête et je n’ arrête pas de me dire que c’est ce qu’auraient dû faire Emma et Ray.
L’auteur utilise un peu les mêmes ficelles scénaristiques que dans les précédents, résultat : c’est fatigant à la longue et je me suis ennuyée.
Bien entendu la fin se termine à nouveau par un cliffhanger de malade. Et heureusement, j’ai la suite… Il me faut juste du temps pour lire le prochain.
En conclusion, un septième tome qui s’est laissé lire sans plus, un peu moins bon que les précédents.