Titre : Eternal Sabbath, tome 4
Saga : ES
Auteur : Fuyumi Soryo
Éditeur : Glénat
Nombre de pages : 220
Quatrième de couverture : Après une rencontre avec Isaac, dans le volume précédent, le professeur Kujô cherche avec Sakaki un moyen de le retrouver et de l’arrêter de tuer pour son plaisir. Pour cela, ils doivent utiliser une façon d’agir bien différente des méthodes classiques. Le professeur Kujô fait donc appel à Akiba pour examiner son cerveau et chercher ainsi le moindre indice pouvant la renseigner sur le comportement d’Isaac. L’expérience n’est pas concluante malgré quelques éléments nouveaux. En effet, Akiba révèle qu’Isaac n’a pas tué tout les chercheurs du laboratoire dans lequel il était enfermé avec Akiba.
Peu de temps après, des morts inexpliquées arrivent de façon plus régulière. Évidement, seuls Mlle Kujô et M Sakaki savent qu’elles sont l’oeuvre d’Isaac.
Dans ce tome-ci, on en apprend davantage sur la relation entre Shuro et Isaac, et ce, grâce au professeur Kujo qui mène une expérience afin de chercher le point faible du dangereux jeune garçon.
Elle place donc Shuro sous un scanner et lorsqu’il répond aux questions, des parties de son cerveau s’illuminent. Dis comme ça, c’est un peu brouillon et pas totalement compréhensible, mais je ne vois pas trop comment l’expliquer mieux.
On découvre que la responsabilité d’Isaac en ce qui concerne l’incendie du laboratoire où il a été créé n’est pas forcément et entièrement la sienne. Ce détail supplémentaire vient étayer une hypothèse qui fait son chemin depuis l’apparition de Yuri, la fillette qui traîne avec le jeune ES : serait-ce elle la tête ? Tandis que lui se laisserait mener par le bout du nez et ne serait que le bras armé de sa sociopathie ? Les prochains volumes me le diront… Enfin, j’espère !
Je suis à la moitié de cette saga. Ça avance doucement mais sûrement. J’aime l’ambiance un brin oppressante qui s’en dégage, autant que les révélations qui sont progressivement faites.
Au niveau des relations entre les personnages, rien de nouveau si ce n’est qu’on apprend la raison pour laquelle Shuro a rejoint la famille Akiba : c’est pas transcendant, mais c’est toujours agréable d’avoir l’explication exacte.
J’ai pas grand chose de plus à dire. J’ai bien aimé et je compte bien terminer la saga avant la fin du mois (j’ai intérêt si je veux valider l’item Tapisserie des Black pour mon challenge Coupe des 4 maisons).