Titre : Princesse Libellule déteste les contes de fées
Saga : Princesse Libellule 3
Scénario : Alexandre Arlène
Illustrations : Stéphanie Bellat
Éditeur : La boîte à bulles
Nombre de pages : 64
Quatrième de couverture : Du haut de son donjon, Libellule attend toujours. La jeune et jolie princesse n’a pas perdu espoir de voir venir l’amour, qu’elle n’a malheureusement pas trouvé en la personne de ce prince charmant inconsolable qu’elle a maintenant sur les bras… Heureusement, ses fidèles amis sont là pour la soutenir : Moineau ? sa conscience trop rabat-joie ? le miroir magique ? pas si magique que ça ? une horde d’oiseaux gloutons, un dragon passablement inutile et Plumeau, son fidèle serviteur parti en quête de princes à inviter. Mais de leur côté, l’Amour et le Destin s’en donnent à cœur joie pour faire tourner la jeune fille en bourrique. La vie de princesse est décidément bien difficile ! Mais ?… Mais ?… serait-ce un, deux, non, cent chevaliers que l’on aperçoit au loin ? Est-ce la délivrance tant attendue ? Ou le début des ennuis ?
C’est le troisième et dernier tome de cette saga… je ne le savais pas et je ne m’y attendais pas.
En tout cas, tout au long de cette lecture, rien n’indique la fin avant les cinq dernières pages. C’était abrupte, mais bien joué.
Il ne se passe pas grand-chose.
Libellule continue à se morfondre dans sa tour. Elle héberge le prince pleurnichard, celui qui est amoureux de la princesse rivale du second tome.
Les zozios continuent de faire n’importe quoi.
Le miroir oscille entre utilité et inutilité.
Quant à l’ours cuisinier, il est parti en quête de princes charmants pour sa maîtresse. On ne voit pas la préceptrice puisqu’il neige et que les routes sont bloquées.
On a deux nouveaux personnages : Amour et Destin, mais on ne sait pas trop s’ils existent réellement ou si c’est Libellule qui les invente et imagine leur conspiration.
Ma chronique va être super courte, y a pas grand-chose à dire.
J’ai bien ri dans ce troisième tome, autant que pour le premier. Je pensais qu’il y aurait une satyre des contes de fées, mais ce n’est pas le cas, quelques allusions à certains contes, sans plus : j’ai trouvé Libellule étonnamment moins cynique que dans les précédents, ça ne m’a pas déplu.
J’ai aimé ce troisième tome, je suis contente de l’avoir lu et soulagée que ce soit le dernier.