Les enfants de la baleine, tome 04 – Abi Umeda

Titre : Les enfants de la baleine, tome 04
Auteur : Abi Umeda
Éditeur : Glénat
Nombre de pages : 190
Quatrième de couverture : Au plus fort de la guerre contre les troupes apathoïa, les enfants-combattants de la « Baleine de glaise » tombent les uns après les autres, emportant avec eux leur détermination, leurs espoirs et leurs promesses. Alors qu’une tempête de sable fait rage, dans un coin de ce triste champ de bataille, deux « folies » sont sur le point de s’affronter…

Sans surprise, c’est un quatrième tome qui pète !
Les apathoïas font un massacre, mais les enfants de la baleine ne se laissent pas faire et se défendent plutôt bien. Le plus impressionnant est probablement le Caporal qui tient tête à Leodari, il fait même presque peur.
L’équipe envoyée sur le Skylos rencontre des difficultés lorsqu’ils arrivent au corps du vaisseau, mais après de nombreuses pertes, ils mènent à bien leur mission…

On a quelques révélations : Ohni serait bien le daimonas de Phaleina, créé spécialement par le vaisseau-prison pour le défendre, ce qui expliquerait ses extraordinaires capacités.
Les noûs manipulent les émotions des apathoïas, s’en nourrissent et en contrepartie, les remplissent de sentiments factices… j’ai lu plusieurs fois ce passage pour mieux le comprendre, mais c’est pas super clair, sûrement parce qu’il y a quelques zones d’ombre.

Par contre, de nombreuses questions restent en suspens : qu’est-il arrivé à Leodari ? Comment les apathoïas vont-ils réagir à la perte de Skylos ? Que cache le Caporal et surtout sa mère ? Qui est Emma et le kokalo qu’a donné Oblinis à Chakuro ?
Quel a été le crime des ancêtres des enfants de la baleine ? Et enfin, qui est à bord du vaisseau qui se dirige vers nos héros.

J’ai bien aimé ce quatrième tome.
L’ambiance est oppressante à souhait, et un brin triste.
Les personnages sont attachants que ce soient les principaux ou les secondaires. J’apprécie énormément les flash-backs de chacun, ça les rend touchants.
Les dessins sont chouettes, ils ont un côté très shôjo, mais le gros point fort, ce sont les décors qui sont superbes.
Maintenant, je file lire le cinquième.

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *