Deep sea aquarium Magmell, tome 2 – Kiyomi Sugishita

Titre : Deep sea aquarium Magmell, tome 2
Auteur : Kiyomi Sugishita
Éditeur : Vega / Dupuis
Nombre de pages : 192
Quatrième de couverture : Le métier de soigneur convient désormais au jeune Keitaro. On en apprend un peu plus sur le passé liant son père disparu au directeur de l’aquarium.

Mon ressenti pour ce second tome est semblable au premier : pas particulièrement passionnant, mais intéressant de par son côté encyclopédique.

Kōtarō est passé du rôle de balayeur à celui de soigneur assistant. Il commence doucement par s’occuper d’une créature marine à la fois.
Heureusement, ce n’est pas que cette trame tout au long de ce manga.
Un nouveau personnage apparaît : Lan, cuisinier au restaurant Latimeria, affilié à l’aquarium Magmell. Il a besoin d’aide afin de créer un nouveau plat à base de créatures des abysses. Il se tourne vers Kôtarô, et ce dernier fait le lien avec Shinya, le jeune pêcheur déjà rencontré dans le premier et davantage susceptible d’aider le cuistot.
J’ai adoré ce chapitre, la relation qu’ils nouent est sympathique. Et puis, ils n’ont pas du tout le même comportement, ce qui rend leurs conversations drôles.
Enfin, on termine sur des chapitres déterminants pour notre héros : Haru est revenu, l’aquarium Magmell est à nouveau au complet… ils n’ont donc plus besoin de soigneur assistant. Que va devenir Kōtarō ?

Les dessins sont toujours aussi chouettes : le character design est plaisant, j’ai adoré celui de Lan (je crois bien que c’est mon personnage préféré, j’espère qu’il aura un rôle tout aussi important dans mes prochains tomes, il apporte de la fraîcheur à cette lecture).
Quand aux créatures des fonds marins, elles sont réussies. J’ai plusieurs fois recherché des photos de ces bestioles et elles sont sacrément ressemblantes – le gros plus quand on fait ça est qu’on découvre dans les vidéos leur façon de se mouvoir, ainsi que des détails physiques expliqués par l’auteur, mais pas forcément clair visuellement pour le lecteur. J’ai eu un coup de cœur pour le japanese pancake devilfish (ou Opisthoteuthis depressa), il est trop mignon.

J’ai beaucoup aimé cette lecture et je suis contente d’avoir le prochain.

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *