Titre: La Maîtresse de Rome
Saga: Rome
Auteur: Kate Quinn
Éditeur: Presses de la Cité
Format: E-Book
Nombre de pages: 535
Quatrième de couverture: Jeux du cirque, complots, banquets, orgies… Dans cette formidable saga antique, Kate Quinn fait revivre avec panache l’univers dépravé et sanglant de la Rome du Ier siècle.
Jeune esclave juive soumise aux caprices de l’arrogante Lepida Pollia, sa maîtresse, Thea connaît pour la première fois le bonheur dans les bras du gladiateur Arius le Barbare, la nouvelle coqueluche de Rome. Mais leur idylle attise la jalousie de Lepida, qui s’emploie de son mieux à les séparer.
Cette dernière n’est pas le seul obstacle à se présenter sur la route des deux amants. Grâce à ses talents de musicienne, la belle Thea ne tarde pas à être remarquée de l’aristocratie romaine… et d’un dangereux admirateur : l’empereur Domitien, un homme brillant mais cruel qui en fait sa favorite. Devenue la femme la plus influente de Rome, Thea doit plus que jamais garder son amour pour Arius secret.
J’ai commencé cette lecture sans grande conviction malgré toutes les bonnes critiques que j’en avais lues, principalement parce que c’est une époque que je n’apprécie pas des masses : j’ai toujours du mal à me plonger dans cette période de la Rome Antique.
Pourtant, cette fois-ci, j’ai eu moins de mal : je pense que c’est surtout dû à l’héroïne, Théa, esclave juive, et à son horrible maîtresse, Lepida Pollia – c’était facile de s’identifier à l’une ou l’autre. Si la première est plutôt sympathique, avec un passé douloureux, un personnage travaillé que j’apprécie beaucoup, la seconde est une idiote intrigante, à se demander comment elle a pu se hisser si haut.
Les personnages sont en partie stéréotypés, mais ils ont pratiquement tous réussi à me surprendre : Théa est cultivée et excelle rapidement dans la musique, Arius et son démon intérieur, l’empereur Domitien et ses rapports tordus avec les femmes, etc…
Je ne dirais pas qu’il n’y a pas eu quelques longueurs mais très peu : le plus souvent, c’était lors des jeux, ou des dîners, je pense sincèrement que c’est dû à la période évoquée. Ce qui se lisait le mieux: les 30 premiers % et les 30 derniers mais surtout parce qu’entre, j’étais en vacances sur Paris donc peu de temps pour lire.
Ce que j’ai adoré : ce tome se termine sans obligation de lire la suite – je le ferai sûrement pour découvrir ce qui se passe par la suite pour Sabine et Vix.
Bref, j’ai beaucoup aimé.
J’aime beaucoup cette auteure 🙂
Il est vrai que son style d’écriture est plaisant. Il faudra que j’essaie un autre livre de cette auteure 🙂