Titre: The promised neverland, tome 1
Scénario: Kaiu Shirai
Dessin: Posuka Demisu
Éditeur: Kazé
Nombre de pages: 192
Quatrième de couverture: Emma, Norman et Ray coulent des jours heureux à l’orphelinat Grace Field House. Entourés de leurs petits frères et sœurs, ils s’épanouissent sous l’attention pleine de tendresse de « Maman », qu’ils considèrent comme leur véritable mère. Mais tout bascule le soir où ils découvrent l’abominable réalité qui se cache derrière la façade de leur vie paisible ! Ils doivent s’échapper, c’est une question de vie ou de mort !
J’ai pas mal entendu parlé de ce manga et on me l’a plusieurs fois conseillé. Je dois bien avouer que l’histoire est sympa, même si certains aspects sont un peu prévisibles.
Emma, Norman et Ray ont onze ans. Ils vivent dans un orphelinat et aident Maman, seule adulte et directrice de l’établissement, à s’occuper des plus jeunes. Tous trois sont particulièrement intelligents, ont des résultats brillants aux tests et leurs atouts qui compensent la faiblesse de l’autre.
Une règle est imposée : ils n’ont pas le droit d’aller jusqu’au portail ni de passer la barrière qui entoure l’orphelinat, l’extérieur étant dangereux d’après la directrice. Ma première pensée fut qu’ils étaient parqués comme du bétail. De là à dire que j’ai tapé dans le mille, y a pas loin. Prévisible ? Qui a dit que c’était prévisible ?
Quand Emma et Norman désobéissent en se rendant au portail, ils découvrent ce qui arrive aux enfants qui ont été adoptés. À partir de là, ils n’ont qu’un but : s’enfuir. Seul souci, ils ignorent ce qui les attends dehors.
Je dois bien avouer que ça a piqué ma curiosité et aucune des hypothèses énoncées par les trois protagonistes n’est satisfaisante.
Le seul bémol en ce qui me concerne : les dessins. Je les ai trouvés très moches et inégalement moches. Les personnages sont mal dessinés et pire que ça, ils ne se ressemble pas d’une planche à l’autre. À part Emma qui, en raison de sa coupe de cheveux très caractéristique, ne laisse aucun doute quant à son identité, ce n’est pas le cas des autres qui sont parfois difficilement reconnaissables.
Pour moi, c’est vraiment rédhibitoire.
Un avis en demi-teinte, une bonne lecture sans plus. A voir ce que le second tome donnera…