Titre : Le chat aux sept vies, tome 3
Auteur : Gin Shirakawa
Éditeur : Glénat
Nombre de pages : 144
Quatrième de couverture : Vivre seul, et mourir seul. Nous les chats errants, nous devons savoir que notre vie ne tient qu’à un fil. Sans quoi nous risquons de finir écrasés sous le poids de l’incertitude. En revanche, une rencontre heureuse, une personne avec qui on a envie d’être, peuvent nous aider à donner un sens à notre naissance.
Ce fut un troisième tome tout aussi éprouvant que les deux précédents… peut-être même plus (oui, j’ai beaucoup pleuré… encore), parce qu’on arrive à l’introduction du premier tome, celle où Nanao est en train de mourir, seul, dans une ruelle.
Mais pas dès le début.
Une année est passée et le moins qu’on puisse dire, c’est que Machi et Nanao ont bien grandi… et bien grossi ! Ils ont leurs petites habitudes, mais c’est sans compter Ban et son acolyte, Bunkichi, qui dévoilent leurs plans diaboliques lorsque le vieux « Bleu » décède.
Machi prend une décision difficile qui permet de préserver la vie des autres chats et lorsque l’hiver arrive, il morfle salement.
Tout au long de cette lecture, je me suis inquiétée pour nos deux chats. Ils vivent une vraie vie de chats errants avec toutes les saloperies qui jalonnent leur quotidien et qui réduit drastiquement leur existence : la famine, le froid, les bagarres, etc.
À la fin de l’hiver de leurs deux ans, Machi et Nanao sont séparés puis on les retrouve trois ans auparavant… enfin, seulement Nanao. Yoshino et Kippei ont aussi bien changé. Tout comme le quartier où ils vivent…
Certains ont l’évolution que j’espérais, d’autres pas.
Sur ce coup-là, je ne vois pas trop ce que je pourrais dire de plus. Je crois bien que j’ai fait le tour. Ce troisième tome est un coup de cœur, au même titre que les deux autres et je suis toute tristounette que ce soit terminé.