Titre : Dahliya, artisane magicienne, tome 4
Auteur : Megumi Sumikawa
D’après le roman de : Hisaya Amagishi
Éditeur : Komikku
Nombre de pages : 208
Quatrième de couverture : Dahliya se retrouve désormais submergée de commandes qu’elle ne peut honorer seule. Elle va donc devoir demander de l’aide aux autres guildes et ainsi s’engager dans de nouvelles alliances économiques. De son côté, Wolf décide de reprendre contact avec sa famille avec laquelle il n’a presque aucun lien depuis la mort tragique de sa mère.
Il ne se passe rien dans ce quatrième tome ! C’est terrible !
Tout le premier tiers, on a droit aux négociations entre Dahliya et un créateur pour les bouteilles de savon puis entre la société Rossetti, la guilde des commerçants, celles des Tailleurs, des aventuriers, du contrôle des matériaux.
C’était d’un chiant ! À mourir ! D’ailleurs, je me suis endormie deux fois de suite avant la fin de cette partie, pourtant je n’étais pas plus fatiguée que cela.
Ensuite, Wolf rentre dans sa famille et a un entretien avec son frère aîné pour annoncer sa collaboration avec l’entreprise de Dahliya… bref, à part un vague rappel de leur passé (d’un seul évènement qu’on connaissait déjà), rien de transcendant.
Le seul détail important est qu’un personnage intègre la société Rossetti, ce qui permettra à la jeune fille de laisser libre cours à ses envies de créer.
Je me suis arrêté sur certaines planches que je trouve très jolies : je les ai détaillées en analysant les nuances de gris dans les yeux des personnages. Mais ça ne sauve pas ce manga.
J’ai détesté ce quatrième tome : il m’a paru interminable et je me suis ennuyée. Je ne suis pas sûre d’emprunter le prochain quand il sortira.