Il ne m’a pas fallu très longtemps pour finir le second tome de Mercy Thompson: Les Liens du Sang de Patricia Briggs. J’avoue que si le temps ne m’avait pas manqué, je l’aurai terminé encore plus vite… J’ai bien aimé ce volume-là, même si c’était un peu moins que le premier !
Certes, le trio amoureux passé en quatro, ça saoule un peu et encore bien davantage le fait que l’héroïne est incapable de faire un choix entre ses différents soupirants, et ne parlons même pas de son refus de céder à ses désirs ! C’est bon, elle est censée avoir 30 piges et elle se comporte comme une vierge effarouchée de 14 ans! Bon, donc, ça c’est le point négatif du bouquin… Et heureusement, ça ne reste que de courts interludes!
Sinon, pour le reste, j’aime toujours, l’histoire comme d’habitude n’est pas transcendante, super originale ou autre, mais à côté de cela, c’est pas trop mal écrit, et même si les descriptions restent très superficielles, le peu de détails dépeints est suffisant pour que notre imagination fasse le reste. Par contre, niveau action, peurs, etc…, l’auteure se débrouille plutôt bien et une fois dans la lecture, il est difficile de s’en détacher.
Je suis parfaitement consciente que c’est à mille lieue d’être de la grande littérature, mais ça fait passer le temps, ça me sort de mon train-train quotidien.
Et là, je me tâte même
à aller me chercher la suite! :p
Résumé: « Grâce à la science, les bûchers de sorcières, ordalies et autres lynchages publics appartiennent au passé. En contrepartie, le citoyen modèle, rationnel et respectueux de la loi, n’a pas à s’inquiéter des créatures qui errent dans la nuit. Je voudrais parfois être l’un de ces citoyens modèles… »
La mécanicienne auto Mercedes Thompson a des amis un peu partout… y compris dans des tombeaux. Et elle doit une faveur à l’un d’entre eux. Pouvant changer de forme à volonté, elle accepte de prêter main-forte à son ami vampire Stefan pour remettre un message à un autre mort-vivant.
Mais ce vampire inconnu est loin d’être ordinaire… tout comme le démon qui le possède.