Une guitare pour deux – Mary Amato

Une Guitare pour deuxTitre: Une guitare pour deux
Auteur:
Mary Amato
Éditeur: Nathan
Nombre de pages:
288
Format: e-book
Quatrième de couverture:
La mère de Tripp lui a confisqué sa guitare tant qu’il ne sera pas plus sociable et meilleur élève. Lyla, quant à elle excellente élève et musicienne hors pair, a besoin de s’entraîner pour ses concerts de violoncelle. Les deux adolescents entament alors le partage de la salle de répétition du lycée et une correspondance, d’abord acide puis plus complice. Bientôt le guitariste rebelle et la violoncelliste sage que tout oppose se retrouvent autour de leur passion commune : la musique…

J’ai lu ce livre suite au défi lancé par ma binômette, Psycho-Boook lors du challenge Les mascottes se défient #2. Je devais choisir un livre dont le thème était la musique ou dont la couverture contenait un instrument de musique. J’ai décidé de tenir compte des deux. Le choix de son défi est évident: hier, c’était la fête de la musique, on était donc totalement dans le thème de juin.

C’est un roman jeunesse qui se lit très rapidement même si j’ai eu un peu de mal à me plonger dedans principalement en raison du conflit mère-fils qui oppose Tripp et sa maman. J’ai trouvé l’adolescent très énervant à ne pas remplir sa part du contrat, c’est-à-dire faire ses devoirs d’école pendant les grandes vacances, mais en même temps, sa mère aurait dû réagir plus tôt… donc j’étais prise entre les deux et ça m’a un peu énervée. En même temps, c’était le meilleur moyen pour lancer l’histoire.
J’ai bien aimé le personnage de Lyla, elle est l’élève modèle par excellence répondant aux désirs de son père, ses professeurs ou ses amies, pourtant, elle souffre de cette situation ; je n’ai eu aucun mal à m’attacher à elle et à compatir à son sort. Par contre, Annie m’a prodigieusement énervée à ne pas la laisser respirer.

J’ai adoré les rapports que les deux protagonistes entretiennent, leur petite correspondance m’a donnée plus d’une fois le sourire. Et ça a été tout aussi agréable de les suivre par la suite lorsqu’ils se rapprochent réellement.
Par contre, j’ai trouvé les paroles des chansons un peu nazes, même si, disons-le, le cheminement et le travail de coopération pour y arriver étaient intéressants. J’aurais aimé en entendre la musique, je ne me suis décidée à chercher sur le net s’il n’existait pas un site qu’à la fin – ce qui est totalement nul de ma part – et n’ai pas pu regarder correctement – sur mon téléphone, c’était pas terrible.
Si ça vous intéresse, vous pouvez y faire un tour, voici le lien : The Thrum Society (oui, c’est le nom du groupe de Tripp et Lyla).

Un dernier mot sur la fin : c’était un peu prévisible que les choses tourneraient mal avant de finir bien, même si, pas totalement prévisible puisque je pensais davantage que Lyla aurait un souci de santé genre problème cardiaque.
J’ai bien aimé cette lecture, ce n’était pas prise de tête, ça s’est bien lu. Bref, j’ai passé un bon moment.

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