Titre : Yamada kun & the 7 witches, tome 17
Auteur : Miki Yoshikawa
Éditeur : Delcourt/Tonkam
Nombre de pages : 194
Quatrième de couverture : Un nouveau groupe de sorcières, dont fait partie Masamune Ichijo, réussit à faire révoquer le comité des élèves. Une élection s’organise pour décider du futur bureau. Tout en cherchant un moyen de contre-attaquer, Yamada prend une décision inattendue…
Ces derniers temps, je ne me sens pas l’âme d’une poétesse ni même d’une chroniqueuse. Autant ne pas tergiverser pendant des heures, commençons fort et sans plus attendre.
Dans ce tome, Ichijo est parvenu à son but : monter tous les lycéens contre le comité des élèves et faire révoquer ce dernier. Du coup, une élection est organisée et Miyamura, qui ne compte pas se représenter, choisit son successeur.
J’avoue que je suis déçue par son choix… pourquoi est-ce forcément un gars ? Pourquoi pas Odagiri ? Après tout, elle convoitait ce poste et a bien changé depuis…
Bon, ça n’avance pas des masses tout ça. Yamada essaie d’infiltrer le club de shogi afin de connaître leur stratégie pour gagner l’élection, et ce, grâce à un nouveau pouvoir qu’il a copié. Ajoutons à cela qu’il reçoit l’aide de Noa… ça faisait longtemps qu’on ne l’avait plus vu et elle ne me manquait pas.
Je pensais qu’il y aurait un peu de challenge avec les nouveaux sorciers, qu’on en apprendrai davantage sur eux, ne serait-ce qu’un peu. Mais ce n’est pas le cas et je dois bien avouer que je les déteste pour l’instant : ils se comportent comme de sales gosses. Et puis, je les trouve insipides.
Tout en lisant ce dix-septième tome, je n’ai cessé de me demander ce que j’allais en dire… j’ai noté mes idées au fur et à mesure de ma lecture, mais rien de transcendant n’en est sorti et je suis à cours d’arguments. Donc autant en finir tout de suite.
Pour conclure, je dirais que ça s’est laissé lire, sans plus. Et je n’ai pas particulièrement hâte de découvrir ce que nous réserve le suivant.