Dracula Untold

Titre : Dracula Untold
Réalisateur : Gary Shore
Casting : Luke Evans, Sarah Gadon, Dominic Cooper, Art Parkinson, etc.
Durée : 1h32
Genre : Fantastique
Synopsis : L’histoire débute en 1462. La Transylvanie vit une période de calme relatif sous le règne du prince Vlad III de Valachie et de son épouse bien-aimée Mirena. Ensemble, ils ont négocié la paix et la protection de leur peuple avec le puissant Empire ottoman dont la domination ne cesse de s’étendre en Europe de l’Est. Mais quand le sultan Mehmet II demande que 1000 jeunes hommes de Valachie, dont le propre fils de Vlad, Ingeras, soient arrachés à leur famille pour venir grossir les rangs de l’armée turque, le prince doit faire un choix : abandonner son fils au sultan, comme son père l’a fait avant lui, ou faire appel à une créature obscure pour combattre les Turcs et par là même assujettir son âme à la servitude éternelle. Vlad se rend au pic de la Dent Brisée où il rencontre un abject démon et conclut un accord faustien avec lui : il acquerra la force de 100 hommes, la rapidité d’une étoile filante et les pouvoirs nécessaires pour anéantir ses ennemis, en l’échange de quoi, il sera accablé d’une insatiable soif de sang humain. S’il parvient à y résister pendant trois jours, Vlad redeviendra lui-même, et sera à même de continuer à protéger et gouverner son peuple, mais s’il cède à la tentation, il entrera le monde des ténèbres pour le restant de ses jours, condamné à se nourrir de sang humain et à perdre et détruire tout ce et ceux qui lui sont chers.

Ça fait un moment que je voulais voir ce film, mais les critiques que j’ai lues ont été tellement mauvaises que j’ai reculé son visionnage jusqu’à hier. Je dois bien avouer que ce qui m’a surtout poussé à le mettre, c’est la présence de Luke Evans – oui, je suis faible… une fois de plus. Je l’ai kiffé dans Le Hobbit, et dans La Belle et la Bête, il n’y avait pas de raison que je ne l’apprécie pas là.

Vlad l’empaleur est roi de Transylvanie. Depuis dix ans, il est en paix avec l’empire Ottoman jusqu’à ce que Mehmet II lui demande un tribu de 1000 enfants dont son fils unique. C’en est trop et Vlad refuse de payer un tel prix. Pour vaincre l’armée turque, il va chercher le pouvoir au pic de la Dent Brisée, auprès d’une créature de l’ombre : un vampire.

Le film en lui-même se laisse voir, je n’ai pas vu le temps filer et ne me suis pas ennuyée. Il est bien rythmé et les effets spéciaux sont bien faits (mais de nos jours, ça n’a rien d’étonnant pour un blockbuster américain, je suis même tenté de dire : heureusement !).
Pendant tout le film, je n’ai pas pu m’empêcher de faire un comparatif avec le Dracula de Francis Ford Coppola. Ce qui m’a surtout perturbé, c’est le nom de la femme de Vlad : Mirena (pour moi, ça restera toujours Elizabeta). D’ailleurs, en parlant du personnage-là, j’ai eu du mal, elle a un visage doux et elle est jolie, pourtant elle m’a laissé indifférente… elle est très loin d’être au niveau de Winona Ryder.
J’ai été déçue par la prestation de Luke Evans. J’ai trouvé que le rôle ne lui allait pas – je suis bien incapable d’expliquer cette impression -, et même les nombreuses scènes où on le voit torse nu ne m’ont pas fait changer d’avis.

J’ai beau chercher ce que je pourrais en dire de plus et je ne vois pas.
Le film n’était pas transcendant, mais j’ai passé un bon moment et je n’en attendais rien d’autre.

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