Yamada kun & the 7 witches, tome 19 – Miki Yoshikawa

Titre : Yamada kun & the 7 witches, tome 19
Auteur : Miki Yoshikawa
Éditeur : Delcourt/Tonkam
Nombre de pages : 192
Quatrième de couverture : Yamada se rapproche d’Himekawa pour en apprendre un peu plus sur le club de shogi. Mais à sa grande surprise, il réalise qu’il la connaissait déjà…avant que sa mémoire ne soit effacée par Nancy !
Il décide alors de lancer un nouveau rituel des sorcières, pour récupérer ses souvenirs disparus…

Mince, ça ne fait que 3 mois que j’ai lu le tome 18 de cette saga ? J’ai pourtant l’impression que ça fait bien plus longtemps au point que lorsque j’ai commencé ce tome-ci, je ne me souvenais plus du tout de ce qu’il s’était passé…
Ce n’était pas très grave puisque dès les premières pages, le scénario nous permet de faire le lien entre les deux :
Yamada a réussi à convaincre les 7 sorcières de pratiquer le rituel, mais dans quel but ? Lui permettre de retrouver la mémoire… la première mémoire, celle qui a été modifiée par Nancy, et ce, avant même le premier tome de cette saga.

Du coup, on a droit à pas mal de révélations au fil des pages : comment Yamada a rencontré et est devenu Himekawa et Nancy bien avant ? Pourquoi Nancy a exercé son pouvoir sur Yamada et Ushio ? Quel estvle plan réel du club de shogi ? Etc.
Ça explique certaines incohérences du scenario, mais pas la plus grosse : le pouvoir de Nancy d’effacer la mémoire appartenait à une autre (j’ai oublié le nom, c’était pas Miki) qui travaillait pour le comité des élèves, mais si elle l’avait comment Nancy a-t-elle pu l’avoir avant le début de la saga et maintenant… ça ne colle pas. Pas plus d’ailleurs que cette histoire de pouvoirs passés de l’une à l’autre tout en ayant changé ou de nouveaux sorciers. C’est quand même très confus voire brouillon.
Et puis, on ne découvre pas la totalité des souvenirs effacés et on ignore toujours la raison qui a poussé Himekawa à faire “oublietter” ses amis.

Je n’ai pas trouvé le scénario exceptionnel, peut-être parce que je m’attendais à des révélations surprenantes, à une trame particulièrement bien ficelée alors que c’était d’une banalité à pleurer.
Ce n’était pas une lecture décevante en soi, ça s’est laissé lire, sans plus.

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