Titre : Naissance de la matrice
Saga : Jujutsu Kaisen, tome 02
Auteur : Gege Akutami
Éditeur : Ki-oon (Shônen)
Nombre de pages : 198
Quatrième de couverture : Un mystère est apparu dans une école de réinsertion pour mineurs. Yuji et les premières années de l’Académie des Sciences occultes de Tokyo s’allient afin de sauver le dernier survivant. Mais un problème leur fait barrage : une malédiction s’est transformée en un esprit malfaiteur de grade supérieur. Pour survivre, ils vont devoir faire leur preuve, seuls, face à cette menace inattendue et surpuissante. Parviendront-ils à s’en sortir ?
J’avais super envie de lire la suite de cette saga, mais je ne me souvenais pas des détails du premier. Heureusement, au début, il y a un résumé qui rappelle la trame principale.
Bon, dès le premier chapitre, je me suis rendue compte de la faille d’un résumé si succinct. Par chance, ou grâce au talent du mangaka, au fil des pages, tout s’est fait jour.
Yuji a laissé la place à Sukuna pour vaincre le fléau de classe S qu’il doit affronter. Une fois que c’est réglé, le démon qui possède Yuji n’est pas près de le laisser reprendre possession de son corps et il préfère tuer l’adolescent que de le laisser aux commandes.
En parallèle, Megumi et Nobara dépriment suite au décès de leur camarade, ce qui attire l’attention de trois deuxièmes années. C’est l’occasion pour le lecteur de découvrir ces nouveaux personnages.
Je suis contente que l’ours boxeur, Tsukamoto, ait été de la partie dans ce second tome, ça m’a fait rire. Pour la petite histoire, j’ai découvert l’existence de cette marionnette lors d’une journée promotionnelle de Ki-oon au Camphrier, donc j’avais hâte de la voir dans le manga.
Mais la meilleur partie, c’est quand Satoru est attaqué par le fléau Jogo. Non seulement c’est un combat qui pète, mais l’exorciste est monstrueux… franchement, il fait presque plus peur que le démon des volcans qu’il affronte. Par contre, le point qui m’a déçue, c’est lorsqu’il enlève son bandeau… je m’attendais à ce qu’il cache quelque chose de terrifiant et d’angoissant… mais non, ça m’a laissée froide avec pour seul commentaire un pauvre « c’est tout ? » désabusé.
On en apprendra peut-être plus par la suite sur le pourquoi du comment du bandeau (j’espère), ou pas. On verra.
J’ai adoré cette lecture et j’ai hâte de découvrir le prochain que je vais devoir m’acheter parce que je ne l’ai pas.