Les Carnets de l’Apothicaire, tome 3 – Hyuuga Natsu, Itsuki Nanao & Nekokurage

Titre : Les Carnets de l’Apothicaire, tome 3
Auteur : Hyuuga Natsu
Illustrations : Nekokurage
Scénario : Itsuki Nanao
Éditeur : Ki-oon (Seinen)
Nombre de pages : 187
Quatrième de couverture : Après avoir réussi à sauver Lifa, Mao Mao est conviée à la réception d’hiver, un grand banquet qui réunit les personnalités les plus importantes de la cour intérieure. La jeune apothicaire ne s’y rend pas seulement en tant que dame de compagnie, mais aussi comme goûteuse de Gyokuyo…
C’est donc devant une assemblée médusée que Mao Mao déguste une soupe empoisonnée… qui n’était pas destinée à sa maîtresse ! En effet, c’est la cadette des quatre concubines, Lishu, qui semblait visée. Quelle vérité se cache derrière cette étrange manigance ?

Ce troisième tome clôture l’intrigue de la réception en plein air sur les conclusions de Mao Mao le lendemain.
Ça ouvre sur la suite de l’intrigue : les épingles à cheveux. On découvre leur signification, enfin en partie. Ça permet à celle qui en reçoit de quitter la Cour Intérieure grâce à un garant (celui qui a offert le bijoux).
Mao Mao en avait trois, elle avait donc trois possibilités, mais elle a opté pour Lihaku. Elle lui fait une offre qu’il ne peut pas refuser.
Elle tient à rentrer chez elle et il l’accompagne.

Ça a été l’occasion de découvrir l’endroit où l’héroïne vivait avant d’être enlevée : le quartier des plaisirs. Et on rencontre son maître apothicaire qui n’est autre que son père.
On fait la connaissance de nouveaux personnages :
le paternel de Mao Mao m’a laissée indifférente. Autant elle est douée d’habitude, autant quand il est là, elle est nulle et passe à côté d’indices qu’elle aurait habituellement interprétés correctement.
La vieille du palais vert-de-gris : elle n’est pas très présente, mais elle m’a fait rire.
D’ailleurs la fin de ce récit était drôle, je me suis prise plusieurs fois à éclater de rire que ce soit lorsque Jinshi imagine ce qu’il a pu se passer entre Mao Mao et Lihaku ou quand Gyokuyō rigole, sa tête me fait triper et elle me met en joie.

Les dessins sont superbes. Je n’ai pas réussi à m’attarder dessus tellement j’avais envie de connaître la suite de l’histoire, par contre, je suis revenue sur les illustrations par la suite, juste pour le plaisir.
J’ai passé un excellent moment, il m’a été impossible de m’arrêter avant de l’avoir terminé et j’ai très envie de commencer le prochain.C’est un coup de cœur.

Automne douceur de vivre
Chante-moi une chanson Sassenach (dépaysement)

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