Blue period, tome 10 – Tsubasa Yamaguchi

Titre : Blue period, tome 10
Auteur : Tsubasa Yamaguchi
Éditeur : Pika
Nombre de pages : 192
Quatrième de couverture : Afin de fabriquer le mikoshi du festival culturel de Geidai, Yatora et ses camarades travaillent d’arrache-pied pendant plusieurs semaines. Mais n’en voyant pas le bout et croulant sous la chaleur de l’été, les étudiants atteignent leurs limites. Heureusement, les renforts arrivent, mais suffiront-ils pour finaliser le projet ? Plus inquiétant encore, Yatora n’a pas peint de toutes les vacances et n’arrive plus à retrouver la joie de dessiner…

J’avais envie d’avancer dans cette saga et puisque je suis en arrêt maladie, entre quelques heures de travail quotidien pour rattraper mon absence, de petites siestes de-ci de-là pour me rétablir et un peu de tricot et de diamond painting pour me détendre, il me restait un peu de temps pour lire.

Dans ce dixième tome, le protagoniste n’est pas Yaguchi, mais Yotasuke. Et quand on sait à quel point ce personnage m’exaspère, on peut se dire que ma lecture ne fut pas particulièrement plaisante. Ce n’était pas non plus désagréable, mais j’y ai pris moins de plaisir que pour les autres tomes.
On découvre Yotasuke sous un autre jour, ce qu’il ressent et le pousse à se renfermer sur lui-même. Je comprends son comportement, pourtant, ça ne me l’a pas rendu plus sympathique. Je pense que ce qui me gonfle le plus, c’est que les autres n’arrêtent pas d’essayer de le sortir de sa réserve alors qu’il se braque et ils insistent… bordel, arrêtez de lui lécher le cul ! Le seul qui arrive à l’apprivoiser un minimum, c’est Okamoto et j’ai adoré la façon dont il le fait : tout en douceur et naturellement.

Au niveau de l’avancée de l’histoire, c’était intéressant : on arrive à la fin de la première année avec la dernière exposition. Certaines questions sont posées et font réfléchir Yaguchi et Yotasuke. Tous deux finissent par se trouver, par mettre des mots sur leurs maux et leur ressenti par rapport à leur art. Ça a rendu cet examen plus léger, du moins, c’est le sentiment qu’en a Yaguchi et Tsubasa Yamaguchi a réussi à me transmettre cette sensation, ce qui était super agréable.
J’ai donc fini cette lecture sur une touche positive : j’ai bien aimé ce dixième tome.

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