Titre : Rêve et cauchemort
Saga : Sorceline, tome 4
Scénario : Sylvia Douyé
Illustrations : Paola Antista
Éditeur : Vents d’ouest
Nombre de pages : 48
Quatrième de couverture : Rêve et cauchemort !
Sorceline est en danger ! L’animal fantastique qu’elle est la seule à voir est un augure. Il est dit que la personne devant laquelle il apparait doit bientôt mourir… Plongée dans un profond coma, Sorceline s’accroche tant bien que mal à la vie. Elle ne sait pas qu’un secret la concernant vient d’être révélé. Pourquoi n’en a-t-elle jamais rien su ? Son pouvoir est-il lié à ses origines ? Et surtout, se pourrait-il que Sorceline soit… maléfique ? Les réponses viendront, mais le Professeur Balzar doit avant tout penser à sauver Sorceline. L’école ne connait plus de repos ! D’autant qu’un nouveau stagiaire débarque sur Vorn, que Mérode est toujours coincé en statue de verre, et que les secrets de l’île sont loin de tous être dévoilés…
C’est le dernier tome paru, mais pas l’ultime tome de la saga, contrairement à ce que je pensais – il faudra donc attendre le prochain pour avoir la conclusion finale.
Pourtant les révélations sont nombreuses :
– le passé de madame S, du moins la partie la plus importante pour l’avancée de l’intrigue
– l’origine des dons de Sorceline
– la raison des actions de Mérode contre les autres étudiants du professeur et le lien qui unit le jeune homme à notre héroïne
– les pouvoirs de Sorceline sont dévoilés et tout s’éclaire.
Alcide n’est toujours pas reparu, je ne me souviens plus si on sait ce qu’il est advenu de lui, mais j’ai ma petite idée sur la question. Et comme les étudiants de l’île de Vorn doivent être six, un nouveau personnage du nom de Charlie fait son apparition. Mais il y a un problème : il est borgne c’est-à-dire qu’il ne voit pas les créatures fantastiques… à se demander comment il est arrivé là.
J’étais super contente de retrouver le professeur Balzar et ses apprentis, même cette peste de Tara. Et plus on en apprend sur eux, mieux je les aime.
J’ai dévoré ce quatrième tome, impossible de m’arrêter avant de l’avoir terminé. Il est passionnant, on a tellement de réponses à nos questions qu’il ne pouvait pas en être autrement.
Les dessins sont toujours aussi beaux, mais c’est surtout les couleurs qui m’ont fascinée : le jeu de lumières est terrible notamment dans les scènes de nuit.
Je pense que j’ai fait le tour… en tout cas, je ne vois pas ce que je pourrais ajouter de plus si ce n’est que c’est un coup de cœur et que je ronge déjà mon frein à l’idée de devoir attendre plusieurs mois la sortie du prochain.