La fleur millénaire, tome 04 – Kaneyoshi Izumi

Titre : La fleur millénaire, tome 04
Auteur : Kaneyoshi Izumi
Éditeur : Kazé (Shôjo)
Nombre de pages : 190
Quatrième de couverture : Après avoir dévoilé à Aki son passé avec sa mère, l’heure est venue pour Seitetsu de se constituer prisonnier. Cette séparation est déchirante pour la princesse qui commence à nourrir des sentiments ambigus pour son mentor. Mais voilà que, selon les rumeurs, le pays de  souhaiterait l’extradition de celui-ci. Aussitôt, Aki, aidée de son fidèle Hakusei, décide d’agir pour empêcher que le commerçant ne tombe entre les griffes de la cruelle reine de Do, et le sauver d’une mort certaine…

Je n’étais pas très motivée pour commencer ce manga. Le dernier tome m’a laissée indifférente et je n’en garde quasiment aucun souvenir, pourtant je l’ai lu il y a moins de quatre mois.

Dans ce tome, Seitetsu s’est constitué prisonnier, il doit être livré au pays de Â… non de Dô ! Raaaahhhh ! je ne sais jamais quel pays est de quel côté, ils ne pouvaient pas avoir de vrais noms ?
Bref, l’ambassadeur ennemi doit venir chercher le prisonnier, mais ce n’est pas du goût de Aki qui va monter tout un plan pour empêcher cet échange.

Les dessins ne sont pas terribles, ils me laissent indifférente. Et pour l’instant, il n’y a pas de réelle amélioration. Je ne me suis pas attardée dessus, il n’y avait pas de raisons.

Le personnage de Aki est toujours aussi fade. Je ne parviens pas à m’y attacher. On a l’impression qu’elle ne sait pas ce qu’elle veut : dans les premiers tomes, elle semblait amoureuse de Hakusei, dans celui-ci, c’est Seitetsu… passons le fait qu’il est bien plus vieux qu’elle et qu’il pourrait même être son père.
Hakusei joue le gentil chien-chien, un rôle plutôt inintéressant. Rien à dire de plus.

Le scénario m’a laissé dubitative. Le plan de Aki pose plein de questions et notamment sur le bien fondé de son action : cela va forcément créer des tensions supplémentaires, voire la guerre. Heureusement, l’intrigue est finalement bien fichue donc ça passe.

Je n’ai rien à dire de plus si ce n’est que j’ai aimé cette lecture.

Death Note, tome 06 – Tsugumi Ohba & Takeshi Obata

Titre : Death Note, tome 06
Scénario : Tsugumi Ohba
Illustrations : Takeshi Obata
Éditeur : Kana (Dark)
Nombre de pages : 215
Quatrième de couverture : L et Light qui ont pu suivre la réunion ultra-secrète tenue par 8 membres de la compagnie Yotsuba ont pu établir avec certitude leur lien avec Kira. Afin de découvrir la vérité, Light envoie Misa pour les espionner ! Elle est consciente du danger, mais lequel des membres de Yotsuba va la contacter ?!

Comme pour les tomes précédents, ce fut une lecture aussi passionnante que dense.

Ryuzaki a réussi à faire placer des caméras dans la salle de réunion des 8 potentiels Kira… enfin, maintenant, ils ne sont plus que 7. Nos héros découvrent donc la manière dont les assassinats profitant à la société Yotsuba sont orchestrés. Ils en viennent à éliminer un suspect et le contactent afin d’avoir un pion de l’intérieur. Petit à petit, ils déduisent l’identité de Kira et lui tendent un piège.

Heureusement que l’actuel Kira est un crétin fini, sinon ils ne l’auraient pas eu si facilement. Le plan monté par Light et Ryuzuke avait quelques failles, c’en est presque décevant venant d’eux.
Au niveau de l’avancée de l’histoire, c’est rythmé, mais par rapport à l’animé, ça va vite. On arrive à la fin du premier cycle c’est-à-dire au 26ème épisode sur 37. Je ne me souvenais pas trop des 11 derniers, donc j’ai cherché et ça m’est revenu : elle était nettement moins sympa, donc je redoute un peu la suite. Peut-être que ça me plaira, après tout, le manga est bien plus développé. Bref, je verrai lors du prochain.

En tout cas, j’ai adoré cette lecture, même si parfois, ça m’a semblé long.

Le Roi Cerf, tome 1 – Nahoko Uehashi & Taro Sekiguchi

Titre : Le Roi Cerf, tome 1
Œuvre originale : Nahoko Uehashi
Mangaka : Taro Sekiguchi
Éditeur : Casterman (Sakka)
Nombre de pages : 304
Quatrième de couverture : Van était autrefois un valeureux guerrier du clan des Rameaux solitaires. Défait par l’Empire de Zol, il est depuis leur prisonnier et vit en esclave dans une mine de sel. Une nuit, la mine est attaquée par une meute de loups enragés, porteurs d’une mystérieuse peste. Seuls les rescapés du massacre, Van et une fillette, Yüna, parviennent à s’enfuir. L’Empire de Zol ne tardant pas à découvrir leur existence, il mandate Hohsalle, un prodige de la médecine, pour les traquer afin de trouver un remède. Mais Hohsalle et Van, tous deux liés par le fléau qui sévit, vont découvrir une vérité bien plus terrible.

Ça fait un moment que je tenais à lire ce manga, mais comme souvent, je repoussais… sans réelle raison.
J’ai eu un peu de mal à me plonger dans l’histoire. Les informations du début ne sont pas super claires, et le seul moyen de tout comprendre est d’avancer dans le récit.

Van est prisonnier, on ignore pourquoi. Il parvient à s’échapper quand une meute de loups attaque sa prison et tuent sans distinction tout le monde, que ce soient les geôliers ou les captifs.
Les loups transmettent une maladie mortelle, le Mittsual ; le seul qui survit à leur contact est Van. Ce dernier fuit avec une fillette du nom de Yuna. Tous deux sont recueillis par une tribu nomade qui tentent désespérément d’élever des pyuikas (l’espèce de cerf qui est dessiné sur la couverture). Ils peuvent se poser un peu, malheureusement, leur répit est de courte durée.

Plusieurs choses ont motivé mon choix quant à ce manga :
la couverture est superbe
la curiosité : ça me faisait penser à princesse Mononoke, y a-t-il des similitudes ? Pas trop, si ce n’est que le héros principal monte un pyuika et le Mittsual, l’épidémie qui touche les hommes et qui me fait penser au mal qui ronge les dieux de la forêt.
l’envie de découvrir ce manga avant de regarder le film d’animation éponyme.

J’apprécie les personnages : Van et Yuna sont attachants.
En ce qui concerne les autres, je les aime bien, mais sans plus. Même ceux qui complotent ne m’ont pas semblé antipathiques parce qu’ils ont tous une bonne raison de faire ce qu’ils font. Ça n’excuse en rien leurs actes, mais ça n’en fait pas des méchants pour autant.

Les dessins sont chouettes. J’ai pris plaisir à détailler les illustrations, à contempler les paysages et à chercher le moindre détail.
J’ai bien aimé cette lecture, malgré quelques passages qui m’ont paru un peu brouillon.

Fairy Tail, La grande aventure de Happy, tome 1 – Kenshiro Sakamoto & Hiro Mashima

Titre : Fairy Tail, La grande aventure de Happy, tome 1
D’après l’oeuvre de : Hiro Mashima
Auteur : Kenshiro Sakamoto
Éditeur : Nobi nobi !
Nombre de pages : 160
Quatrième de couverture : Un jour qu’il est en mission avec Natsu, Happy est soudain avalé par un énorme visage flottant et se retrouve dans un autre monde, peuplé d’animaux qui marchent et parlent comme des humains. Déjà malheureux d’être séparé de Natsu et de ses amis de Fairy Tail, il est aussi poursuivi par la police… mais pas pour les raisons qu’il croit : il serait en fait le héros légendaire qui doit sauver le village Animal du malheur. Bien décidé à rentrer chez lui, Happy décide de relever le défi. Pour cela, il doit d’abord trouver comment accumuler le pouvoir d’un item mystérieux, le Cœur souriant.

Je redoutais cette lecture : mon intuition me soufflait que ce serait du n’importe quoi… ben ça n’a pas loupé.

Happy, le chat bleu ailé sur la couverture, est avalé par un machin immonde qui n’est qu’un visage et il atterri dans un monde animalier. Rapidement, il apprend qu’il est un héros, mais il s’en moque, il n’a qu’une envie : pouvoir retourner chez lui, mais pour cela, il doit gagner des points en aidant les habitants.

N’ayant jamais lu Fairy tail, j’ignorais tout de Happy jusqu’à aujourd’hui. Je me serais finalement bien passé de faire sa connaissance. C’est un personnage très enthousiaste et très gentil, mais il est stupide. Ses réactions m’ont exaspérée : elles sont exagérées… et c’est too much.
Mais il n’est pas le seul à m’avoir fait cet effet. Les autres personnages également. Aucun ne m’a plu.

C’est une lecture très enfantine, trop gentillet. Je ne vais pas m’attarder sur tous les points noirs, ils sont trop nombreux. Je conclurais en disant que j’ai détesté ce premier tome. Je ne lirai pas le prochain… et d’ailleurs, ça ne me donne pas non plus envie de découvrir la saga Fairy tail.

La Sorcière invincible, tome 01 – Kisetsu Morita, Yûsuke Shiba & Benio

Titre : La Sorcière invincible, tome 01
Auteur : Kisetsu Morita
Dessins : Yûsuke Shiba & Benio
Éditeur : Soleil
Nombre de pages : 186
Quatrième de couverture : Azusa Aizawa, femme, célibataire, bête de travail. Après avoir vécu uniquement pour son boulot, elle se réincarne en sorcière immortelle dans un autre monde. 300 ans de vie tranquille plus tard, elle a atteint le level 99. Ayant entendu parler de cette jeune fille incroyablement forte, beaucoup d’aventuriers et de dragons viennent à elle. Que va donc devenir son rêve d’un quotidien paisible ! ?

Souvent, quand je prends un livre à la médiathèque, je me demande ce qui a motivé mon emprunt. Pour ce manga, je ne sais pas trop. Je crois que le sous-titre a fait pencher la balance : « tueuse de slimes depuis 300 ans ». J’espérais que ce soit fun, avec un brin d’autodérision, après tout c’est ridicule de ne tuer que des Slimes pendant tant d’années. Ce n’est malheureusement pas le cas.

Aizawa se tue littéralement au travail. Pour la récompenser de tant de dévotion, un ange lui offre la vie dont elle rêve : une existence faite de repos. Elle devient une sorcière, une maison lui est offerte et elle tue des slimes pour gagner sa vie, et ce, pendant 300 ans.
Résultat, elle est devenue super forte sans le savoir : invincible, level 99, avec des pouvoirs dont elle ignore tout.
Malheureusement pour elle, ça finit par se savoir et adieu la tranquillité. Des aventuriers viennent pour l’affronter.

C’était nul comme lecture, elle m’a ennuyée. J’ai trouvé ça interminable.
C’est probablement parce que je déteste Aizawa et son flegme excessif. Et puis sa toute-puissance innée m’exaspère. Elle bat tout le monde, même les dragons, alors qu’elle n’a aucune expérience au combat et ce n’est pas en tuant un slime en le touchant du doigt qu’elle a pu devenir aussi forte… ben si, et même les plus expérimentés se cassent les dents face à elle. C’est n’importe quoi.

J’ai détesté cette lecture. J’ai perdu mon temps et je ne lirai pas les prochains.